Jeudi 23 décembre, un homme âgé de 53 ans a été condamné à une peine de 8 mois de prison avec sursis pour le viol d’une chèvre à Tours (Indre-et-Loire). Ce dernier a été identifié via son ADN.
Depuis 2018, des agents de la municipalité de Tours avaient constaté des intrusions dans l’enclos des chèvres du parc Honoré-de-Balzac. Puis, en janvier 2021, ces derniers ont remarqué des traces de sévices sur une chèvre devenue craintive. Après analyse, un ADN a été isolé : celui d’un homme de 53 ans, originaire du Sri-Lanka et déjà connu de la justice.
Placé en garde à vue le 27 septembre pour des faits de « sévices de nature sexuelle envers un animal », le suspect a affirmé qu’il ne se rappelait de rien, ni d’avoir dégradé la clôture du parc, ni d’avoir violé une chèvre, a rapporté La Nouvelle République. Jugé ce jeudi 23 décembre au tribunal correctionnel de Tours, l’homme a continué de nier les faits.
[REPLAY] Un homme de 53 ans soupçonné de plusieurs viols sur… une chèvre de l’île Balzac à #Tours
— NRFaitsdivers37 (@faitsdivers37) September 29, 2021
Cependant, grâce à l’identification ADN effectuée par les services vétérinaires, l’homme a été condamné à une peine de 8 mois de sursis probatoire assortis d’une interdiction à vie de détenir un animal, et d’une injonction de soins, a rapporté Actu17.
À noter qu’il devra également verser la somme de 400 euros à trois associations de défense des animaux, qui s’étaient constituées partie civile. Pour les dégradations de la clôture du parc, l’homme devra aussi indemniser la ville de Tours à hauteur de 1050 euros. De plus, il devra 287 euros pour les frais vétérinaires et de 1000 euros pour le préjudice moral causé.
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