Un clandestin Guinéen sous OQTF a violemment agressé plusieurs policiers municipaux et un vigile dans un fast-food du centre-ville de Nice ce mercredi 26 octobre. Par le passé, il avait été condamné pour apologie du terrorisme après avoir menacé d’égorger des forces de l’ordre.
Sous OQTF depuis le 1er septembre 2023, a quatorze mentions au casier judiciaire, a déjà fait l’apologie du terrorisme et menacé d’égorger des policiers… mais il demande quand même un repas gratuit « pour son anniversaire ». Ce samedi 26 octobre, un individu a semé la pagaille dans un fast-food du centre-ville de Nice, frustré que les employés du restaurant refusent sa demande, rapportent nos confrères de Nice-Matin.
L’homme, imbibé d’alcool, décide alors d’agresser le vigile pour soulager sa colère et de copieusement insulter les policiers municipaux venus arrêter son esclandre. Ces derniers ne restèrent pas en reste et furent à leur tour frappés par le forcené. Nombre d’agents ont été blessés par l’individu, très remuant.
« Il nous a menacé de mort »
Logiquement arrêté, il a été jugé en ce début de semaine pour violences sur personnes dépositaires de l’autorité publique, menaces de mort et rébellion. « Il nous postillonnait dessus, nous a frappés, il nous a traités de tous les noms, nous a menacés de mort », a déploré un des fonctionnaires lors de l’audience.
Au cours de cette dernière, la procureure de la République, Laura Goude, a insisté sur le profil « inquiétant » de Souleymane Dabo, et a requis vingt mois de prison avec interdiction définitive de territoire français. Le tribunal a finalement prononcé une peine de deux ans de prison avec une interdiction définitive de séjour en France. Il a annoncé avoir fait appel de la décision.
Comment pouvez-vous nous aider à vous tenir informés ?
Epoch Times est un média libre et indépendant, ne recevant aucune aide publique et n’appartenant à aucun parti politique ou groupe financier. Depuis notre création, nous faisons face à des attaques déloyales pour faire taire nos informations portant notamment sur les questions de droits de l'homme en Chine. C'est pourquoi, nous comptons sur votre soutien pour défendre notre journalisme indépendant et pour continuer, grâce à vous, à faire connaître la vérité.
