Sur Instagram, Alexandra Rosenfeld a donné des nouvelles à ses fans. Les médecins viennent de lui diagnostiquer le syndrome de Cockett.
Souffrant de douleurs intenses dans le corps, Alexandra Rosenfeld s’était rendue aux urgences de l’hôpital le 17 juillet dernier. À l’issue de plusieurs examens médicaux, le verdict est tombé. L’ancienne Miss France a révélé à ses abonnés qu’elle souffrait du syndrome de Cockett.
« Ça ne va pas du tout, j’ai des douleurs partout »
« Vous me demandez des nouvelles : ça ne va pas du tout, j’ai des douleurs partout. C’est courant avec les thromboses très profondes des veines iliaques et fémorales que les phlébites aillent partout. Donc j’ai aussi cuisse et mollet… », a-t-elle expliqué dans une story publiée sur son compte Instagram.
« Le syndrome de Cockett dont j’étais atteinte sans le savoir s’est déclenché avec une thrombose veineuse profonde », précise-t-elle, mettant en garde ses abonnés de prendre un rendez-vous chez un angiologue ou pour une IRM s’ils souffrent de douleurs similaires aux siennes, leur conseillant de ne pas attendre comme elle l’a fait.
En effet, même si elle souffrait de douleurs depuis presque un mois, elle a continué sa vie et son sport, enchaînant « beaucoup de retraites de yoga avec un tas de torsions, compressions ». « Un jour, je ne pouvais plus marcher », déclare la compagne du journaliste Hugo Clément dans sa story. Sur une photo, également publiée sur le réseau social, on la voit debout, se tenant à l’aide d’une béquille. Les médecins lui ont prescrit « six mois de collants de contention n°3 et au moins six mois d’anticoagulants avec peut-être un stent à la clé ».
« Dans l’inconnu et dans le stress »
L’affection rare dont souffre Alexandra Rosenfeld, également appelée May-Thurner, touche davantage les femmes jeunes que les hommes et peut se traduire par de vives douleurs. Les conséquences pour les personnes atteintes du syndrome de Cockett sont les risques de phlébites, d’œdèmes chroniques intermittents, ainsi que les varices.
« Je ne suis pas une spécialiste, je suis moi-même dans l’inconnu et dans le stress tous les jours avec ma seule obsession : quand vais-je pouvoir reprendre le sport ? » s’interroge la jeune femme de 38 ans. Originaire de Béziers, elle est devenue professeur de yoga après avoir pratiqué l’athlétisme à haut niveau.
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