Un trisomique embrasse sa mère après avoir vaincu le virus du PCC : un rétablissement étonnant

Par Louise Bevan
23 avril 2020 17:48 Mis à jour: 23 avril 2020 17:48

Un jeune homme atteint de trisomie, à qui l’on ne donnait que 24 heures à vivre après avoir contracté le virus de Wuhan, a survécu contre toute attente.

À sa sortie de l’hôpital, le personnel médical, en liesse, l’a amené directement dans les bras de sa mère pour des retrouvailles émouvantes.

Ben McCafferty, âgé de 34 ans, a été admis à la Bradford Royal Infirmary, dans le West Yorkshire, le 6 avril 2020. Neil Margerison, le beau-père de Ben, a dit qu’il ne s’attendait pas à ce que son fils survive à cette épreuve.

« Nous ne nous attendions pas à ce qu’il survive. On nous a dit que le taux de survie était très faible », a confié Neil dans une vidéo enregistrée par Karen Dawber, chef du service des soins infirmiers des hôpitaux universitaires de Bradford.

(Vidéo avec l’aimable autorisation de Bradford Teaching Hospitals)

Craignant le pire, Ben a été transféré au service des soins palliatifs. Cependant, grâce à des soins médicaux de qualité et au soutien d’une équipe formidable, Ben a commencé à se rétablir. Après presque deux semaines à l’hôpital, les parents de Ben ont reçu les nouvelles qu’ils espéraient : Ben était suffisamment bien pour rentrer chez lui.

CORONAVIRUS: CE QUE VOUS DEVEZ SAVOIR

Le 18 avril, Neil a accompagné Ben dans le couloir de l’hôpital pour retrouver sa mère, Diane Margerison. Elle avait adopté Ben alors qu’il n’avait que trois mois, et tous les deux partagent un lien extrêmement étroit.

(Avec l’aimable autorisation du Bradford Teaching Hospitals)

Les retrouvailles émouvantes entre la mère et le fils ont été filmées par Dawber. Dans les images des retrouvailles, lorsque Ben et Diane se voient, Ben avance vers sa mère à un rythme accéléré. Les deux s’embrassent.

Puis la mère de Ben plaisante avec son fils lui demandant : « Qui êtes-vous ? » Ben répond : « Un bel homme », et tout le monde éclate de rire.

La mère et le fils, très proches, étaient restés en contact via WhatsApp, mais Diane a néanmoins décrit leur réunion en personne comme « extraordinaire », rapporte le The Yorkshire Evening Post.

(Avec l’aimable autorisation du Bradford Teaching Hospitals)

Diane avait pu rester avec son fils lors de sa première nuit au Bradford Royal Infirmary, mais avait dû partir peu après puisque les restrictions de confinement interdisaient aux visiteurs d’aller et venir. Au lieu de cela, Neil a dormi sur un lit de camp à côté de Ben pendant toute la durée de son traitement.

L’infirmière Dawber décrit Neil comme « un véritable saint » pour son dévouement au bien-être de son beau-fils. « Nous avons vu [Ben] commencer à aller mieux », a-t-elle dit à l’agence basée au Royaume-Uni. « Il était pris en charge dans notre service de fin de vie. Il riait et plaisantait avec les infirmières. »

Ben McCafferty (G) avec son beau-père, Neil Margerison (Avec l’aimable autorisation des Bradford Teaching Hospitals)

Ben et ses parents ont été chaleureusement applaudis en quittant l’hôpital bras dessus, bras dessous. Le supermarché Morrisons de l’hôpital a même offert des cadeaux et un ballon d’hélium pour que la cérémonie de départ de Ben soit aussi spéciale que possible. De retour chez elle à Thornton, Bradford, Diane a réfléchi à la guérison de son fils et a exprimé son immense gratitude au personnel de la santé publique de l’hôpital Bradford Royal Infirmary, soulignant que les excellents soins que son fils a reçus à l’hôpital lui ont sauvé la vie.

« Je ne pensais pas qu’il s’en sortirait », a confié Diane au Yorkshire Evening Post. « C’était la plus longue séparation que nous avons vécue. »

« Les gens peuvent encore s’en remettre », a-t-elle ajouté, en encourageant les personnes isolées chez elles à garder la foi et l’espoir. « Ben en est la preuve. »

Regardez les retrouvailles émouvantes dans la vidéo ci-dessous :

En quoi le journal Epoch Times est-il différent des autres médias ?

Epoch Times est le média indépendant qui connaît la plus forte croissance au monde. Nous sommes différents des autres organisations médiatiques, car nous ne sommes influencés par aucun gouvernement, aucune entreprise ou aucun parti politique. Notre seul objectif est d’apporter à nos lecteurs des informations précises et de nous montrer responsables envers le public. Nous ne suivons pas la tendance malsaine des médias d’aujourd’hui, à savoir un journalisme axé sur un agenda, mais nous utilisons plutôt nos principes de vérité et de tradition comme guide dans notre travail.

Soutenez Epoch Times à partir de 1€

Comment pouvez-vous nous aider à vous tenir informés ?

Epoch Times est un média libre et indépendant, ne recevant aucune aide publique et n’appartenant à aucun parti politique ou groupe financier. Depuis notre création, nous faisons face à des attaques déloyales pour faire taire nos informations portant notamment sur les questions de droits de l'homme en Chine. C'est pourquoi, nous comptons sur votre soutien pour défendre notre journalisme indépendant et pour continuer, grâce à vous, à faire connaître la vérité.