Chloé Cole avait 15 ans lorsqu’elle a accepté de se faire ôter la poitrine par un chirurgien « soucieux de l’égalité des sexes » – une décision qui a changé sa vie et qu’elle regrette aujourd’hui profondément.
Sa transition « brutale » de femme à homme était tout sauf le « voyage de genre » romancé que les militants transgenres et les professionnels de la santé avaient dépeint, explique‑t‑elle à Epoch Times.
« C’est effrayant d’appeler ça comme ça », confie‑t‑elle.
Chloé, qui a maintenant 18 ans, a davantage l’impression de se réveiller d’un « cauchemar ». Elle a été lésée par le système médical et le système scolaire qui l’ont poussée à recourir rapidement à la chirurgie de transition de genre.
« J’étais convaincue que ce projet me rendrait heureuse, qu’il me permettrait d’être épanouie en tant que personne. »
Bien qu’elle se soit sentie « abandonnée » par la plupart des adultes de son entourage, elle ne reproche pas à ses parents d’avoir suivi les conseils du personnel scolaire et des professionnels de la santé, qui lui ont permis de « confirmer » son désir de transition sociale, de prendre des bloqueurs de puberté, des hormones masculines et de recourir à la chirurgie.
La plupart des professionnels de la santé n’ont rien fait pour l’interroger ou la dissuader, ni elle ni ses parents.
« Ils ont en réalité fait culpabiliser mes parents pour recevoir leur autorisation de procéder ainsi. Ils leur ont fait le coup du ‘soit vous aurez une fille morte, soit vous aurez un fils vivant’. Ils ont évoqué les taux de suicide. Il y a tellement de complaisance de la part des enseignants, de tous les adultes en fait. Je suis vraiment bouleversée par tout cela. Je ressens de la colère. Je n’ai pas vraiment eu le droit de grandir. »
Ses parents, bien que sceptiques, ont fait confiance aux professionnels de la santé et ont fini par consentir aux interventions médicales souhaitées par leur fille, y compris l’opération chirurgicale, qui était couverte par leur police d’assurance maladie.
« Les adolescents ne devraient pas avoir à prendre ce genre de décisions », poursuit‑elle.
La transidentité
La transidentité est largement célébrée dans la culture populaire et sur les médias sociaux. En réalité, estime Chloé, c’est une question extrêmement clivante, bien plus qu’on ne l’imagine.
Aujourd’hui, Chloé fait partie d’un nombre croissant de jeunes « détransitionnistes » qui rejettent les tendances actuelles de l’idéologie transgenre et s’opposent au modèle de soins « d’affirmation du genre » promus par les parlementaires progressistes locaux ou fédéraux.
Elle a récemment témoigné contre le projet de loi 107 du Sénat californien, proposé par le sénateur Scott Wiener (Parti démocrate‑San Francisco). Si la loi est adoptée, elle mettra à l’abri de toute poursuite les parents qui consentent à l’utilisation de bloqueurs de puberté, d’hormones sexuelles et de chirurgie de transition pour leurs enfants. Dans les autres États, ces actions sont considérées comme de la maltraitance infantile.
« Je pense que c’est vraiment dangereux pour les familles américaines. Les familles peuvent être déchirées », déclare Chloé, qui a de nouveau témoigné contre le projet de loi cette semaine.
Chloé a été harcelée sur les médias sociaux et a reçu plusieurs menaces de mort proférées par des militants transgenres après avoir annoncé sa détransition et pris position contre les politiques « d’affirmation du genre ».
« Maintenant que je suis complètement désabusée, c’est vraiment scandaleux que nous en soyons arrivés là. »
Le combat
Diagnostiquée TDAH à un jeune âge, Chloé croit maintenant qu’elle est « sur le spectre [du TDAH] ».
« Il existe vraiment un taux de comorbidité élevé entre la dysphorie de genre et l’autisme », explique‑t‑elle.
Bien que « très féminine » dans son enfance, Chloé était « un peu garçon manqué » en grandissant.
« Je détestais vraiment les robes, les jupes et les choses de ce genre. »
Les émissions de télévision pour enfants lui ont transmis que « les filles sont moins importantes ». Ces émissions montraient souvent des personnages trop féminins, des caricatures de filles « stupides, tête en l’air, et qui se mettent en travers de la route ».
« Et ça s’est imprimé en moi », explique Chloé.
Cependant, sa véritable peur de la féminité et son dédain précoce pour la féminité ont commencé des années auparavant, sur les médias sociaux et les sites Web LGBT.
« Ma puberté a commencé quand j’étais assez jeune, vers neuf ans, et l’idée de devenir une femme me contrariait. »
Elle a ouvert son premier compte de médias sociaux à 11 ans sur Instagram. Avec un accès presque illimité à Internet, elle a été exposée à des contenus inappropriés, notamment la pornographie et des « sextos » [textos ou photographies sexuellement explicites, ndlr].
Sur Instagram, elle a d’abord été approchée par des garçons qui s’identifiaient comme gays et bisexuels via la messagerie. Elle a ensuite commencé à passer plus de temps sur les sites Web recommandés pour les « adolescents trans » de 12 à 19 ans.
« Il y a une page en particulier qui m’a interpellée. Il s’agissait d’un groupe d’adolescentes qui s’identifiaient comme FTM [Female‑To‑Male]. Elles semblaient très unies, un groupe très solidaire, et ça m’a parlée parce que j’ai toujours eu du mal à me faire des amis. Je me sentais exclue. Je n’ai jamais réussi à m’intégrer dans un groupe d’enfants de mon âge. »
Chloé a rarement été en contact avec le milieu transgenre dans la vie réelle, mais elle a remarqué, lors de discussions en ligne avec des adolescents transgenres, que beaucoup d’entre eux avaient de profondes cicatrices émotionnelles et des problèmes de santé mentale.
« Toutes les personnes transgenres que j’ai rencontrées, surtout celles de mon âge, ont eu des problèmes familiaux graves ou ont été victimes d’abus sexuels ou d’agressions à un très jeune âge. Personne n’évoque jamais ce lien, c’est très inquiétant. »
À 11 ans, Chloé n’était pas en mesure de comprendre qu’il ne fallait pas se comparer aux images sexualisées des femmes à moitié nues qu’elle voyait en ligne.
« Je ne le savais pas à l’époque », dit‑elle. « J’ai commencé à développer des problèmes d’image corporelle. J’ai commencé à me dire : ‘Pourquoi je ne ressemble pas à ça ? Ne suis‑je pas une femme ?’ Et une grande partie des contenus féministes véhiculés par d’autres filles présentaient la féminité comme une chose terrible. »
La transition
À l’âge de 12 ans, Chloé a annoncé à ses parents qu’elle était transsexuelle. Ils ont cherché à obtenir une aide médicale professionnelle.
Chloé a consulté un spécialiste du genre, qui l’a orienté vers un endocrinologue. L’endocrinologue a refusé de lui prescrire des bloqueurs de puberté ou des hormones, invoquant certains effets qu’ils pourraient avoir sur son développement cognitif. C’est le premier et le dernier médecin qui a rejetté ses revendications.
« J’ai trouvé très facilement un autre endocrinologue prêt à me soutenir. »
Après deux rendez‑vous, le second endocrinologue lui a prescris des inhibiteurs de puberté et de la testostérone.
Chloé avait 13 ans quand elle a commencé sa transition physique. Les injections de bloqueurs de puberté réduisaient les œstrogènes de son organisme. Un mois plus tard, elle a commence à s’injecter de la testostérone, un processus que les professionnels de la médecine appellent hormonothérapie.
« Ils m’ont d’abord mis sous inhibiteurs. J’avais des bouffées de chaleur. Elles étaient plutôt pénibles. Elles survenaient de manière sporadique. J’en arrivais au point où ça me démangeait vraiment. Je ne pouvais même pas porter des pantalons ou des pulls en hiver. Un peu comme une ménopause artificielle. »
Une fois sous testostérone, la voix de Chloé est « devenue assez grave ». Sa poitrine a commencé à rétrécir et à perdre de sa forme au fil du temps.
Chloé est restée sous bloqueurs de puberté pendant environ 18 mois et sous testostérone pendant environ 3 ans.
Les bouffées de chaleur ont cessé lorsqu’elle a arrêté de prendre les bloqueurs de puberté.
Décision contraignante
À l’école, Chloé était « une enfant bizarre », mais elle s’était fait quelques amis en ligne et dans la vie de tous les jours. Mais parce qu’elle n’avait révélé son identité sexuelle qu’à ses amis les plus proches, elle devait affronter l’anxiété causée par la perspective d’être exclue.
« Je n’ai jamais mentionné aux enseignants mon prénom préféré ou quoi que ce soit jusqu’au lycée. Je me présentais avec des vêtements d’homme et des coupes de cheveux plus courtes. »
Quelques mois après lui avoir prescrit de la testostérone, un garçon s’est mis à la tripoter en plein cours d’histoire en huitième année [4e]. Le cours était si agité que personne n’a rien remarqué, pas même son professeur. Cette expérience l’a décidée à porter un corset de pour aplatir et dissimuler sa poitrine.
« J’avais une poitrine relativement petite, mais ça m’a tout de même causé quelques soucis. Mes côtes ont été déformées à cause du corset. Les seins n’ont pas disparu pas comme ça, ils se sont enfoncés dans la cage thoracique. »
Son corset collait à sa peau sous la chaleur extrême de la Central Valley californienne. Sa poitrine était comprimée. « C’était juste inconfortable au plus haut point. »
Elle allait dans les toilettes des hommes, mais craignait toujours d’être agressée sexuellement.
Elle ne se changeait pas dans les vestiaires des garçons parce qu’elle avait peur d’être vue avec son corset :« (…) que quelqu’un puisse faire un commentaire à ce sujet, et me prendre pour cible. »
La plupart des élèves, à l’exception de ceux qui l’avaient connue plus jeune, la voyaient comme un garçon. Un jour, un vrai garçon pendant le cours de sport a fini par remarquer ses attributs féminins.
« Une fois, en cours de sport, nous avions natation. J’ai enlevé mon T.shirt. Je portais mon corset, et quelqu’un a remarqué la forme de mon corps. Voilà un autre élément qui m’a incitée à me débarrasser de ma poitrine », raconte Chloé. « Il m’a dit quelque chose du genre : ‘Je ne sais pas ce que c’est, mais tu as l’air plutôt féminine’, et ça m’a fait mal. »
Avant la rentrée de sa première année au lycée, Chloé s’est rendue au bureau du principal avec ses parents et a demandé que son prénom soit changé en « Leo » dans son dossier.
« Chirurgie de la poitrine »
Avant son opération, Chloé a assisté à un cours de « chirurgie de la poitrine » avec environ 12 à 15 autres filles et leurs parents pour se familiariser avec les différents types d’incisions.
Avec du recul, elle déclare que « cela ressemblait un peu à de la propagande – les mots qu’ils utilisaient comme ‘soins d’affirmation du genre’ et autres expressions de ce type ». « Je vois bien qu’on me vendait un produit. »
Chloé a remarqué que la moitié des filles avaient quelques années de moins qu’elle. « En y repensant aujourd’hui, c’est un peu effrayant. C’est un peu bizarre de penser qu’elles envisageaient déjà de se faire opérer. »
Mais, à l’époque, le fait de voir d’autres filles et de savoir qu’elle n’était pas seule l’a confortée dans sa décision d’aller de l’avant pour une double mastectomie, la plus couramment pratiquée, appelée « double incision avec greffes de mamelons », en juin 2020. Elle avait 15 ans.
L’opération impliquait l’ablation des tissus mammaires et le remodelage de la poitrine pour lui conférer une apparence plus masculine.
« Ils enlèvent le mamelon et le remettent en place dans une position plus masculine. Quelques effets secondaires en découlent. »
Non seulement l’ablation du tissu mammaire entraîne une perte de sensibilité, mais le repositionnement du mamelon entraîne la rupture du canal qui alimente le mamelon en lait maternel.
L’opération a provoqué de profondes douleurs musculaires contre lesquelles on lui a prescrit un médicament à base d’opioïdes. Mais puisque les troubles digestifs qui en résultaient étaient plus pénibles à supporter que les douleurs thoraciques, elle a arrêté de prendre les comprimés.
« En fait, j’ai été handicapée pendant un certain temps. J’avais une amplitude de mouvement très limitée, surtout dans les bras et le haut du corps. Il y avait beaucoup de choses que je ne pouvais plus faire. Je n’ai pas pu sortir de la maison pendant quelques semaines. C’était très contrariant, je m’en souviens. »
Les problèmes post‑opératoires persistants avec ses mamelons ont constitué la phase la plus éprouvante du processus de rétablissement.
« Cela fait deux ans, et j’ai toujours des problèmes de peau. La façon dont la peau guérit sur les greffes … c’est tout simplement horrible. C’est vraiment dégoûtant. »
Chloé dit avoir eu des difficultés à contacter son chirurgien par la suite, et bien qu’elle était censée avoir un rendez‑vous de suivi avec lui, elle a fini par téléphoner aux deux infirmières qui étaient présentes dans la salle d’opération de la clinique.
Elle se demande également si les inhibiteurs de puberté ont pu affecter le développement de son cerveau, comme son premier endocrinologue l’avait prévu. Mais son plus grand regret est d’avoir subi une intervention chirurgicale qui a affecté ses fonctions féminines de façon définitive.
« J’avais 15 ans. On ne peut pas vraiment attendre d’une adolescente qu’elle prenne des décisions d’adulte. Donc, à cause d’une décision que j’ai prise quand j’étais adolescente, je ne pourrai pas allaiter mes enfants à l’avenir. C’est juste un peu alarmant que cette procédure soit recommandée à des enfants de mon âge, et maintenant encore plus jeunes. Ils commencent à opérer des préadolescents maintenant. »
Dilemme de la détransition
Pendant les périodes de confinement et d’apprentissage à distance liées au Covid‑19, Chloé a eu recours aux médias sociaux pour interagir en ligne et a remarqué que les filles de son âge postaient des photos « super idéalisées » d’elles‑mêmes. Bien qu’elle se soit rendu compte que ces images avaient été retouchées et améliorées, elles ont déclenché les mêmes problèmes d’image corporelle que ceux qu’elle avait connus dans son enfance.
Pendant un certain temps, je me suis demandé : « Est‑ce vraiment ça ce que vaut une femme ? Si je ne fais pas ça, est‑ce que cela fait de moi une femme moins bien que les autres ? »
Finalement, Chloé a acheté des vêtements féminins et du maquillage, qu’elle ne portait que dans l’intimité de sa chambre. « Je suppose qu’inconsciemment, j’ai commencé à réaliser que ce qui me manquait, c’était de me présenter de manière plus féminine, d’être jolie. »
Au fil du temps, sa désillusion à l’idée de vivre comme un homme s’est accrue.
« J’ai réalisé que je n’étais pas vraiment prête à assumer les responsabilités qui en découlent. À certains moments, j’avais l’impression que je n’étais pas assez bien en tant que fille, mais peut‑être que je n’étais pas assez bien en tant que garçon non plus, et peut‑être que je ne pouvais pas être assez bien pour être l’un ou l’autre. Je ne savais plus vraiment qui j’étais. »
Au cours des mois suivants, l’isolement dû aux fermetures d’écoles a eu des répercussions sur l’état d’esprit de Chloé. Elle était déprimée et sombrait dans un déséquilibre affectif.
Au cours du second semestre de sa 11e année [Première], les notes de Chloé ont chuté et ses parents ont décidé de lui faire suivre un programme scolaire en ligne uniquement.
« C’était un peu comme un programme d’enseignement à domicile, sauf que je devais me rendre au bureau du district au moins une fois par semaine pour passer des tests. Mes résultats scolaires ont en fait empiré, parce que j’étais totalement isolée. »
Cependant, Chloé admet que moins d’interaction sociale lui a permis de se livrer à une profonde introspection.
Au cours du dernier trimestre de sa 11e année, Chloé a suivi pour la première fois un cours de psychologie et s’est familiarisée avec les questions relatives au développement de l’enfant. Une des leçons portait sur les expériences de Harlow menées sur des bébés macaques rhésus, avec pour thème la maternité, le lien mère‑enfant et l’allaitement.
« J’ai commencé à réaliser que je m’étais privée de moi‑même. Je ne pourrai pas créer de liens avec mes enfants de la même manière qu’une mère en assumant un rôle masculin. Je m’étais débarrassée de ma poitrine et je ne pouvais donc plus nourrir mes enfants naturellement ou m’impliquer avec eux de cette manière. Je pense que cette idée m’a servi de catalyseur pour réaliser à quel point j’étais dans le faux. »
Embrasser la féminité
Chloé a annoncé sa détransition en mai 2021, environ 11 mois après l’opération, et a embrassé la féminité.
« Je suis une femme », déclare‑t‑elle.
Malgré sa transition, Chloé avoue avoir toujours été principalement attirée par les hommes virils et n’avoir jamais été que « marginalement attirée » par les femmes. Elle est aujourd’hui « hétéro », dit‑elle, et sait désormais que la confusion de genre de son enfance était due à un sentiment d’insécurité et sa peur d’être une femme.
Chloé a pris plaisir à « cultiver » un nouveau look féminin pour elle‑même, mais affirme qu’elle n’est toujours pas très portée sur le maquillage et qu’elle n’a pas le temps de s’en préoccuper.
« Je suis souvent en robe ou en jupe parce que, honnêtement, c’est très confortable. »
Elle a appris à accepter son corps tel qu’il est, et ne veut pas avoir recours à la chirurgie réparatrice ou aux implants mammaires.
« Il existe de multiples options pour se reconstruire, mais honnêtement, je ne pense pas que cela en vaille la peine. Je ne retrouverai jamais cette fonction, quoi que je fasse, donc je n’ai pas vraiment intérêt à le faire. »
Chloé a obtenu son baccalauréat au mois de mai et s’est inscrite à l’université.
Message d’espoir
Bien qu’elle ait été harcelée sur les médias sociaux et menacée par des militants, Chloé a fait savoir qu’elle était déterminée à partager son histoire.
« Je veux empêcher qu’il y ai d’autres cas comme le mien. »
Elle se demande pourquoi les enseignants sont complices du processus d’ « affirmation de genre ».
« Le problème, c’est qu’ils ne réagissent pas vraiment à cette histoire de trans. Lorsque j’ai demandé au lycée de changer mon nom, mon adresse électronique et mes dossiers, il n’y a pas eu de réaction ou quoi que ce soit. »
Chloé exhorte les enfants qui envisagent de subir une opération de transition sexuelle à « ne pas se laisser emporter par le romantisme » associé à l’idée de changer de sexe. Elle leur suggère de considérer qu’il peut y avoir « d’autres raisons » à la dysphorie de genre, notamment l’autisme ou d’autres problèmes de santé mentale.
« Je vous conseille vivement d’attendre, car le cerveau ne cesse de se développer pour la plupart des gens jusqu’au milieu de la vingtaine, voire un peu plus tard, et les adolescents sont connus pour prendre des décisions irréfléchies. Ça fait mal d’entendre ça, surtout quand on est enfant, mais c’est la vérité. Il y a une raison pour laquelle on ne peut pas acheter de cigarettes ou d’alcool, ni voter ou louer une voiture avant un certain âge. »
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