Les services de santé de la Corée du Sud ont rapporté le fait que des personnes guéries du virus du PCC pourraient être à nouveau positives à ce virus.
Epoch Times qualifie le nouveau coronavirus à l’origine de la maladie Covid-19, de virus du PCC parce que la dissimulation et la gestion déplorable du Parti communiste chinois ont permis au virus de se propager dans toute la Chine avant de devenir une pandémie mondiale.
En effet, le centre de contrôle et de prévention de Corée du Sud (KCDC) démontre que 51 patients avaient été déclarés guéris, a rapporté CNEWS. Un patient est déclaré guéri lorsque plusieurs tests ont été effectués et que les résultats obtenus à tous ces tests sont négatifs.
Cependant, quelques jours après la fin de leur quarantaine, ils ont à nouveau été testés positifs, ainsi que le relate le journal américain Bloomberg.
De plus, les médecins précisent que ces personnes n’ont probablement pas été réinfectées par d’autres malades. Les médecins pensent que le virus, encore présent dans le corps de ces patients, se serait réactivé.
La Corée du Sud avait officiellement réussi à enrayer cette pandémie. Sans appliquer de mesures coercitives ou de confinement, le gouvernement a toutefois mis en place un certain nombre de règles et dispositifs. Outre des mesures d’hygiène rigoureuses, le gouvernement a également effectué des tests de masse pour dépister les malades. Le gouvernement a par ailleurs misé sur les nouvelles technologies, à savoir l’augmentation de l’information, mais aussi sur un traçage informatique des malades, ce qui n’est pas sans poser de problème quant au respect de la vie privée.
La chine aurait décelé des cas semblables, ainsi que le rapporte CNEWS. Des patients visiblement guéris seraient décédés quelques jours seulement après leur sortie d’hôpital.
Cette « réactivation » du virus chez les patients guéris pourrait donc entraîner une deuxième vague de coronavirus, peut-être encore plus virulente que la première.
Comment pouvez-vous nous aider à vous tenir informés ?
Epoch Times est un média libre et indépendant, ne recevant aucune aide publique et n’appartenant à aucun parti politique ou groupe financier. Depuis notre création, nous faisons face à des attaques déloyales pour faire taire nos informations portant notamment sur les questions de droits de l'homme en Chine. C'est pourquoi, nous comptons sur votre soutien pour défendre notre journalisme indépendant et pour continuer, grâce à vous, à faire connaître la vérité.