L’Agence européenne des médicaments (EMA) a indiqué enquêter sur des liens entre le vaccin anti-Covid de Johnson & Johnson et des cas de caillots sanguins, et élargir son enquête sur celui d’AstraZeneca pour des problèmes vasculaires.
L’EMA a indiqué que sa commission pour la sûreté avait « lancé une étude » destinée « à évaluer des informations sur des incidents thrombo-emboliques » concernant des personnes ayant reçu le vaccin du laboratoire Johnson & Johnson. L’Union européenne a autorisé ce vaccin mais n’a pas commencé à l’utiliser.
« Il a été fait état, après vaccination avec le vaccin Covid-19 Janssen, de quatre cas graves de caillots inhabituels associés à des faibles taux de plaquettes », a indiqué l’EMA, citant le nom de la filiale européenne du géant américain. « Un cas est survenu lors d’un test clinique et trois sont survenus dans le cadre de la vaccination aux États-Unis. L’un d’entre eux a été mortel », a ajouté l’EMA le 9 avril dernier.
#Covid_19: le régulateur européen examine des cas de thrombose avec le #vaccin Johnson&Johnson
Une étude a été lancée après que 4 cas, dont un mortel, ont été rapportés. L’Union européenne a autorisé ce vaccin mais n’a pas commencé à l’utiliserhttps://t.co/zjQDLv8kPb— Dominique Lang (@dlang57500) April 10, 2021
Cas de caillots sanguins avec l’AstraZeneca
Le régulateur européen a approuvé le vaccin Johnson & Johnson et sa mise en œuvre dans les pays de l’Union européenne doit commencer en avril. Cette annonce survient alors que l’organisation basée à Amsterdam a étudié des cas de caillots sanguins survenus chez des personnes ayant reçu le vaccin AstraZeneca et a admis qu’il s’agissait bien d’effets secondaires. Les deux vaccins, Johnson & Johnson comme AstraZeneca, utilisent la technologie recourant à un adénovirus pour vecteur.
« Pause «
Mardi 13 avril, les autorités sanitaires américaines ont donc recommandé « une pause » dans l’utilisation du vaccin de Johnson & Johnson contre le Covid-19 causé par le virus du PCC (Parti communiste chinois) afin d’enquêter sur l’apparition de cas graves de caillots sanguins chez plusieurs personnes aux États-Unis.
L’EMA « est en train d’enquêter sur six cas rapportés aux États-Unis de personnes ayant développé des cas sévères de caillots sanguins après avoir reçu le vaccin » et pendant l’enquête « nous recommandons une pause », a-t-elle indiqué dans un communiqué.
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