Daniela Trezzi n’avait que 34 ans. Cette infirmière italienne n’a pas pu le supporter lorsqu’elle a été testée positive au virus de Wuhan et placée en quarantaine. Pensant aux personnes qu’elle a peut-être contaminées et à celles qu’elle pourrait contaminer, elle a mis fin à ses jours le 24 mars.
Selon CNews, Mme Trezi travaillait au service des soins intensifs de l’hôpital San Gerardo, à Monza près de Milan. Le 10 mars, elle avait été placée en quarantaine et effectué un test de dépistage du coronavirus du PCC. Celui-ci est revenu positif.
Epoch Times désigne le nouveau coronavirus de Wuhan, responsable de la maladie du Covid-19, comme le « virus du PCC », car la dissimulation et la gestion déplorable du Parti communiste chinois (PCC) ont permis au virus de se propager dans toute la Chine et de créer une pandémie mondiale.
COUVERTURE SPÉCIALE : VIRUS DU PCC
Le personnel hospitalier qui travaillait aux cotés de l’infirmière a témoigné que tous les soignants ressentent un « stress intense » à l’idée qu’ils pourraient contaminer leurs proches.
La Federazione Nazionale Ordini Professioni Infermieristiche esprime dolore e costernazione per la giovane collega che si è tolta la vita. I 450mila professionisti presenti in Italia si stringono attorno alla famiglia, agli amici e ai colleghi di Daniela. https://t.co/hJQ5ZXfrJs
— FNOPI.IT (@FNInfermieri) March 24, 2020
Le suicide de Daniela Trezzi survient alors que l’Italie est en pleine épidémie et que le pays entame une troisième semaine de stricte quarantaine. Le pays compte désormais plus de 8 000 décès en date du 27 mars.
Dans un communiqué, la Fédération nationale des infirmiers rapporte le suicide de la jeune infirmière et lui rend hommage : « Les 450 000 professionnels en Italie se réunissent autour de la famille, des amis et des collègues de Daniela. »
L’organisme tient aussi à soutenir les infirmiers qui se trouvent actuellement au combat. « Les infirmiers ne laissent jamais personne seul, même – et cela vient encore d’être prouvé – au péril de leur vie. On ne peut pas laisser les infirmiers seuls. »
Un autre cas de suicide a été rapporté à Venise par la Fédération, qui n’a pas souhaité donner davantage de détails, à part qu’une infirmière se serait jetée dans la Piave « pour les mêmes raisons ».
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