Le staff du XV de France a libéré mercredi soir six joueurs, dont l’arrière Melvyn Jaminet et le centre Emilien Gailleton, et en a appelé cinq autres pour les remplacer lors de l’entraînement de jeudi, dont le deuxième ligne Posolo Tuilagi.
Conformément à l’avenant à la convention entre la Fédération française de rugby et la Ligue nationale de rugby, il est prévu que six des 34 joueurs appelés par le XV de France soit remis à la disposition de leurs clubs le mercredi soir pendant le Tournoi des six nations 2024.
Cette semaine, ainsi qu’avant les rencontres face à l’Italie (25 février) et le pays de Galles (10 mars) qui se dérouleront un dimanche, ces six joueurs seront remplacés par six autres pour la journée du jeudi.
Au travail ?? #XVdeFrance #NeFaisonsXV pic.twitter.com/eHXLpy9dzH
— France Rugby (@FranceRugby) January 24, 2024
Lors de cette première semaine de rassemblement, l’arrière Melvyn Jaminet (Toulon), le centre Emilien Gailleton (Pau), les troisièmes lignes Esteban Abadie (Toulon) et Alexandre Roumat (Stade toulousain), le talonneur Gaëtan Barlot (Castres) et le deuxième ligne Matthias Halagahu (Toulon) sont remis à la disposition de leurs clubs mercredi soir.
Ils seront remplacés pour l’entraînement de jeudi par cinq joueurs au lieu des six initialement prévus dans la convention: le deuxième ligne Posolo Tuilagi (Perpignan), l’ailier Théo Attissogbe (Pau), l’arrière Léo Barré (Stade français) et les troisièmes lignes Maxime Baudonne (Racing 92) et Lenni Nouchi (Montpellier).
Sur ces trois jeudis, chacun de ces remplaçants devra venir d’un club différent et le XV de France veillera à ne pas toujours solliciter les mêmes joueurs, précise l’avenant à la convention LNR-FFR, adopté début janvier.
Comment pouvez-vous nous aider à vous tenir informés ?
Epoch Times est un média libre et indépendant, ne recevant aucune aide publique et n’appartenant à aucun parti politique ou groupe financier. Depuis notre création, nous faisons face à des attaques déloyales pour faire taire nos informations portant notamment sur les questions de droits de l'homme en Chine. C'est pourquoi, nous comptons sur votre soutien pour défendre notre journalisme indépendant et pour continuer, grâce à vous, à faire connaître la vérité.