L’ultime va-tout du PCC : la guerre biologique et nucléaire - 1ere partie.
Note de la rédaction : Nous vous annoncions la semaine dernière la publication par notre journal de textes particulièrement inquiétants émanant des autorités militaires chinoises. Dans cette édition et les suivantes, le commentateur politique de La Grande Époque en version chinoise, San Renxing, décrypte ces textes. Par souci de fidélité, nous avons choisi de traduire son analyse en conservant les formulations imagées propres à la langue chinoise. Que le lecteur ne s’étonne donc pas de la terminologie parfois pimentée de cet article. | |
A mesure que les Neuf Commentaires sur le Parti communiste de La Grande Epoque se propagent de plus en plus largement en Chine, la vérité qu’ils énoncent éveille la population chinoise à la vraie nature du parti communiste chinois (PCC) - fait sans précédent, des millions de membres du parti ont déjà annoncé leur démission, et le mouvement continue au rythme de quinze à vingt mille démissions par jour. Le parti communiste voit approcher sa fin.
Dans une démonstration de force pour sauver sa peau, le PCC a révélé un plan sinistre qu’il prépare depuis des années, jouant son ultime va-tout pour prolonger sa vie.
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Ce plan est révélé dans deux discours écrits par Chi Haotian, Ministre de la Défense et Vice-président de la Commission militaire centrale de Chine, et publiés sur Internet. L’origine et le contexte de ces discours restent entourés de mystère. Les titres des deux discours sont « La guerre est proche » [1] et « La guerre n’est plus très loin et va enfanter un siècle chinois ». A en juger par leurs contextes similaires et la cohérence du thème, les deux articles sont bien d’une seule et même veine.
Ces discours sont édifiants en ce qu’ils décrivent de manière détaillée et systématique les presque 20 années de peur et d’impuissance du PCC quant à son funeste destin, et sa lutte désespérée pour prolonger sa vie. En particulier, les discours mettent à nu, de manière inhabituelle, ce que le PCC a vraiment en tête - sans rien dissimuler au public - c’est là une confession rare qui peut aider les gens à comprendre la nature perverse du PCC. Si on comprend vraiment ce qui est dit dans cette confession, on saisira immédiatement la manière de penser du PCC. En bref, les discours méritent la lecture, et j’aimerais les commenter quelque peu.
I. Un truand joue le sort du monde, et les vies humaines dans ce village global deviennent sans valeur
Mais alors, quel est donc l’essentiel de cet ultime va-tout ? Pour le dire en peu de mots et d’une façon imagée : une bête acculée lutte désespérément pour survivre dans un combat contre l’humanité. Si vous ne me croyez pas, lisez quelques passages directement tirés des discours.
1) « Nous devons nous préparer nous-mêmes à deux scénarios. Si nos armes biologiques réussissent leur attaque surprise [sur les États-Unis], le peuple chinois pourra minimiser ses pertes dans le combat contre les États-Unis. Si, toutefois, l’attaque échoue et suscite une riposte nucléaire des États-Unis, la Chine pourrait souffrir une catastrophe dans laquelle plus de la moitié de sa population périrait. Voilà pourquoi nous devons tenir prêts les systèmes de défense aérienne pour nos villes grandes et moyennes. Quel que soit le cas, nous ne pouvons qu’avancer intrépidement dans l’intérêt de notre Parti et de notre État et celui du futur de notre nation, quelles que soient les épreuves auxquelles nous devions faire face et les sacrifices que nous ayons à faire. Même si plus de la moitié de la population périt, sa reconstitution est possible. Mais si le Parti tombe, tout sera fini, et fini pour toujours ! »
2) « Nous, le PCC, ne descendrons jamais de la scène de l’histoire quel que soit l’événement ! Plutôt entraîner le monde entier, où même toute la planète dans la mort avec nous, plutôt que de quitter la scène de l’histoire !!! N’existe-t-il pas une théorie de la dépendance nucléaire ? Cela signifie que depuis que les armes nucléaires ont lié la sécurité du monde entier, tous mourront ensemble si la mort est inévitable. De mon point de vue, il y a une autre sorte de dépendance, qui est que le destin de notre Parti est lié à celui du monde entier. Si nous, le PCC, sommes finis, la Chine sera finie, et le monde sera fini. »
3) « C’est vrai qu’il est brutal de tuer un ou deux cent millions d’Américains. Mais c’est la seule voie qui assurera un siècle chinois, un siècle dans lequel le PCC mènera le monde. Nous, en tant qu’humanistes révolutionnaires, ne voulons pas de morts. Mais si l’histoire nous confronte à un choix entre la mort de Chinois et celle d’Américains, nous choisirons ces derniers, car, pour nous, il est plus important de sauvegarder les vies de la population chinoise et la vie de notre Parti. C’est parce que, après tout, nous sommes chinois et membres du PCC. Du jour où nous nous sommes joints au PCC, la vie du Parti a toujours primé sur tout le reste ! »
Puisque la vie du Parti prime sur « tout le reste », il ne serait pas surprenant que le PCC recoure à l’utilisation d’armes biologiques et nucléaires dans une tentative de prolonger son existence. Le PCC qui méprise la vie humaine n’hésiterait pas à tuer deux cent millions d’Américains, avec sept ou huit cent millions de Chinois, pour parvenir à ses fins. Ces discours ont permis au public de voir le PCC pour ce qu’il est vraiment. Le mal saturant chacune de ses cellules, le PCC entend mener une guerre contre l’humanité dans une tentative désespérée de s’accrocher à la vie. C’est là le thème principal des discours.
Cette attitude est meurtrière et totalement perverse. En Chine nous avons vu des mendiants qui ont forcé des gens à leur donner de l’argent en les menaçant de se poignarder au couteau ou de se percer la gorge avec de longs clous. Mais jamais jusque-là, nous n’avions vu un tel truand utiliser des armes biologiques et nucléaires pour menacer le monde en affirmant que tous mourront avec lui. Cette confession sanglante a confirmé la nature du PCC : celle d’un monstre meurtrier qui a tué 80 millions de Chinois et prévoit à présent de prendre en otage un milliard de personnes et de jouer avec leurs vies.
Le PCC est connu pour être une clique, avec des manières d’agir sans transparence. Il est donc extraordinaire qu’il ait choisi de révéler, de son propre chef, ses plus profonds secrets. On pourrait demander : quel est le but du PCC en publiant son plan insensé ? La réponse est que les discours peuvent avoir l’effet de faire d’une pierre trois coups. Ses intentions sont les suivantes :
1) exprimer la résolution du PCC qu’il ne sera pas « enterré ni par le ciel ni par la terre » (une citation directe d’un des discours). S’il prétend qu’il ne sera enterré ni par le ciel ni par la terre, le PCC n’est-il pas une force qui s’oppose à l’univers ?
2) faire face à la vérité des Neuf Commentaires sur le Parti communiste, pour se dépêcher de changer son image de faiblesse.
3) faire prendre conscience au public de sa lutte contre l’humanité en menaçant d’une guerre et en encourageant la violence.
Donc, à strictement parler, le PCC laisse filtrer cette information davantage pour se raccrocher à quelque chose que pour toute autre raison, afin de sauver sa propre vie, plutôt que pour tester les eaux de l’opinion publique. Naturellement, la manière dont les discours sont présentés a été soigneusement préparée. Ils n’ont pas les habituelles introductions et conclusions, et le public, le temps, le lieu et le contexte liés aux discours ne sont pas révélés. Nous pouvons spéculer sur les situations dans lesquelles ces discours ont été présentés sans pouvoir les vérifier. Leur but est manifestement de créer une mise en scène mystérieuse. En bref, les discours sont apparus d’une façon qui rend difficile le fait de dire s’ils sont vrais ou non. |
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II. Les discours venaient-ils du PCC ?
Ces
discours dépassent de loin ce qu’une personne normale peut imaginer.
Incapables de croire à l’existence d’une telle perversité dans le monde
humain, même en épuisant toute leur imagination, les gens auraient
tendance à penser que les discours ne peuvent pas être vrais et ne
doivent pas être crus. Rejeter les discours est au moins susceptible de
donner aux gens un sentiment de sécurité. Un de mes amis m’a envoyé un
livre écrit par quelqu’un au service du PCC, ce livre était intitulé « Discuter de la paisible ascension [de la Chine] ». Dans une note jointe, mon ami écrivait sur le ton de la conversation : « Ce livre représente le principal courant de pensée du PCC aujourd’hui ! »
Nous
n’avons donc pas d’autre choix que de répondre sérieusement à la
question de savoir si les discours sont ou non authentiques, s’ils
représentent le principal courant de pensée du PCC, ses intentions, et
son furieux et ultime va-tout. Sans quoi, dans les imaginations
optimistes des personnes de cœur, le PCC serait comme une lampe à gaz
qui brûle peu à peu et sans à-coup, sans perturbation pour l’espèce
humaine ni désastre pour le monde. Si tel est le cas, le monde et sa
population ont vraiment de la chance !
M. Li Hongzhi, le fondateur du Falun Gong, se référant au PCC et à ses pervers affiliés, conclut : «
Il est naturellement mauvais, il est naturellement perfide, il est
naturellement pervers, tout comme le poison, même si vous lui demandez
de ne pas empoisonner les gens, il n’y arrive pas ». Cette
observation peut-elle être simplement une déclaration désinvolte ? Les
Neuf Commentaires catégorisent le PCC comme une force qui s’oppose à
l’univers, un culte pervers, et une bande de malfaiteurs. Cela peut-il
n’être qu’une grosse blague ?
D’un autre côté, si on peut
confirmer sans équivoque que le PCC est à l’origine des discours qui
représentent vraiment le principal courant de pensée du PCC, cette
réponse résonnera comme un avertissement pour tous dans le monde. En
termes plus clairs, une confirmation de l’authenticité des discours
revient à accuser le PCC et à lui demander de montrer sa perversité et
de témoigner de la véracité des Neuf Commentaires, en reconnaissant que
le PCC est une force qui s’oppose à l’humanité.
Il y a de fait
un bon nombre de Chinois qui, comme les premières victimes du syndrome
de Stockholm qui défendaient de tout cœur leurs kidnappeurs, n’écoutent
rien d’autre que les mensonges du PCC. Ils ne se sentent en sécurité
que lorsqu’ils sont contrôlés et manipulés par le régime malin. En
évoquant la soi-disant « paisible ascension » du PCC, ils diraient : au moins, ce n’est pas une ascension par la guerre !
Existe-t-il
de bonnes méthodes pour changer l’esprit de ceux qui ne croient pas
qu’un chien agressif finira par attaquer les gens ? Une expérience
destructrice, telle celle incitant le chien à attaquer et à créer une
scène macabre, n’en fait certainement pas partie. Une telle expérience
reviendrait à ce que de bonnes personnes, n’arrivant pas à persuader
les autres de faire le bien, incitent alors de mauvaises personnes à
faire le mal.
Le PCC n’est-il vraiment pas si mauvais que les Neuf
Commentaires le décrivent ? De mauvais serait-il vraiment devenu bon ?
Un menteur exposant ses propres mensonges - voilà un véritable antidote
à ces mensonges.
III. Le régime ne s’intéresse pas à Taiwan
; le débat sur Taiwan n’est qu’une dernière tentative désespérée du PCC
pour échapper à sa fâcheuse situation
En me basant sur les raisons mentionnées plus haut, je vais m’attacher à vérifier l’authenticité du discours.
En examinant le discours isolément, les mots et la logique reflètent une profonde compréhension de la « culture du Parti »
représentée par Mao Zedong, Deng Xiaoping, Jiang Zemin et Hu Jintao. Y
sont aussi mêlés les enseignements fascistes de He Xin, un nouveau
favori du PCC.
Par exemple, le discours a cité les idées de Mao de mener les alliés à la victoire (« lorsqu’ils bénéficient de l’alliance avec vous, ils vous soutiendront ») pour défendre les « Trois Représentations » proposées par Jiang Zemin. C’est une interprétation très fidèle issue de la culture sans scrupule du PCC.
Le discours dit aussi : «
La population, même si plus de la moitié meurt, peut être reconstituée.
Mais si le Parti tombe, tout est fini, et fini pour toujours ! »
Cette citation est presque identique à la théorie de Mao sur la guerre
nucléaire, où il suggérait de tuer la moitié de la population chinoise
et de laisser les 300 millions restants édifier le communisme. La seule
différence est que durant l’ère Mao, le PCC ne sentait pas l’urgence
d’une fin dangereusement proche de leur régime.
Certains
pourraient penser que nous ne pouvons pas établir l’authenticité du
discours simplement parce que Mao a dit quelque chose de similaire. Une
coïncidence, à ce moment critique de l’histoire, le Professeur Zhu
Chengdu de l’Université de la Défense nationale est apparu et a annoncé
au monde à grand cris que si les États-Unis s’impliquaient dans une
guerre entre Taiwan et la Chine continentale, la Chine serait la
première à utiliser les armes nucléaires et à effacer de la carte des
centaines de villes aux États-Unis, même au prix de la perte de chaque
ville à l’est de Xi’An. Dans un discours non publié du Professeur Zhu,
celui-ci révélait aussi que le PCC allait emmagasiner suffisamment
d’armes nucléaires pour détruire la moitié de la race humaine. Tout le
monde a peur de la mort et espère que si les autres meurent du moins ce
ne sera pas eux. Heureusement pour les hauts fonctionnaires du PCC, des
structures résistant aux armes nucléaires ont été construites dans
l’ouest de la Chine et sont prêtes à être utilisées dès que le PCC
planifie d’initier une attaque nucléaire.
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Comme le professeur Zhu
est charmant ! En dépit des imaginations irréalistes de la plupart des
gens à propos du PCC, il a montré ce qu’il en est vraiment du PCC et
authentifié le discours de Chi Haotian. Zhu a enseigné à chaque citoyen
du monde à être prudent et à ne pas oublier que le monstre assoiffé de
sang grince des dents. Il a enseigné aux politiciens et aux hommes
d’affaires des pays occidentaux à ne pas oublier leur conscience face à
leurs intérêts, et à ne pas infuser du sang dans la bête en échange des
grains d’or qu’elle tient entre ses dents. Zhu a aussi rappelé à chaque
citoyen du monde ce qui suit :
1) Un petit général ne dirait pas des choses aussi arrogantes sans l’approbation implicite du « conseil directorial » du PCC ;
2) Tandis que Zhu mentionne des choses comme « raser [des villes] au sol », les discours de Chi Haotian disent « invalider les États-Unis » et « nettoyer les États-Unis de la scène »,
toutes ces phrases signifient la même chose. Avant, vous pouviez dire
que le discours a été prononcé derrière des portes closes, et n’était
accessible que sur l’Internet et que par conséquent, il ne pouvait pas
servir de preuve. Mais à présent l’armée a fait irruption sur le devant
de la scène s’exprimant en plein jour. Ironiquement, elle a exposé ses
propres mensonges, tels que ceux de l’« ascension pacifique » de la Chine et de « représenter l’intérêt du peuple ».
3)
Raser toutes les villes à l’est de Xi’An et des centaines de villes aux
États-Unis et tuer environ un milliard de gens en utilisant des armes
nucléaires est cohérent avec le principe exprimé dans le discours que
l’existence du Parti est le plus important. En termes de brutalité et
d’insanité, les deux déclarations sont fondamentalement similaires.
4)
Pourquoi s’unir de nouveau avec Taiwan si le prix est d’éliminer tout
ce qui est à l’est de Xi’an ? Il est manifeste que s’unir de nouveau
avec Taiwan n’est qu’une excuse. Le spectre pervers du PCC ne
s’intéresse pas à Taiwan lui-même ; le débat sur Taiwan n’est qu’une
tentative désespérée du PCC pour échapper à son sort funeste. La mort
d’un milliard de gens doit être utilisée comme remède pour prolonger la
vie du spectre pervers dont la vie touche à sa fin.
L’angoisse de
Zhu saute aux yeux. Elle démontre pleinement que le PCC sait qu’il est
acculé et peut s’effondrer à tout moment. Le discours de Zhu est un
signal de l’intensification de sa guerre contre la race humaine et ne
devrait pas être négligé. Taiwan n’est qu’une gâchette supplémentaire
entre les mains du PCC dans sa guerre finale contre la race humaine.
Tel est le véritable but du PCC en passant sa loi « anti-sécession » dans laquelle il a déclaré qu’il ferait la guerre à Taiwan si Taiwan déclarait son indépendance.
Dans
l’histoire de la race humaine, de Néron à Hitler, de Mussolini à Hideki
Tojo, personne d’autre que le PCC n’a osé dire quoique ce soit d’aussi
furieux et arrogant.
IV. La moralité est la meilleure arme contre la tumeur cancéreuse
D’après
moi, isoler et analyser le discours est facile mais à peine
convainquant. La meilleure façon de le considérer est de placer le
discours dans le contexte de la scène mondiale et de ses relations
profondément significatives. Il serait facile de dire l’authenticité du
discours en observant la situation du monde, la nature brutale du PCC,
la crise dans laquelle il se trouve, et la stratégie qu’il utilise pour
affronter la crise.
Quelle est donc la situation sur la scène
mondiale ? En fait, pour le PCC, les choses en sont à un moment
historique de vie ou de mort.
Un proverbe dit : « Les étrangers attendent le fracas le plus sonore, mais les initiés connaissent les véritables compétences ».
Ce n’est pas que les États-Unis ne savent pas qui est la vraie source
des désastres dans le monde et qui est l’axe incontesté du mal. Qui est
le précurseur et le sponsor conséquent du terrorisme ? Qui est en train
de distribuer les armes nucléaires à la Corée du Nord, à l’Iran, et à
la Libye en passant par le Pakistan ? Qui propulse Kim Jong-Il, Osama
Ben Laden, et Saddam Hussein sur le devant de la scène, afin qu’il
puisse gagner du temps et développer des armes de destruction massives
(en particulier des armes biologiques) en coulisses ?
Grâce à
la guerre contre le terrorisme, Bush a appris que la clé pour vaincre
le PCC n’est pas la confrontation militaire mais la promotion du
concept de liberté. Tout en achevant de mettre au point son objectif de
stratégie militaire globale, il a déclaré l’importance de la liberté au
21e siècle : les États-Unis comprennent que leur sécurité nationale est
intimement liée au succès de la démocratie dans le monde. La paix
mondiale dépend du progrès de la liberté dans le monde entier. Son
second discours inaugural de 17 minutes utilisait 27 fois le mot «
liberté ». La cloche de l’histoire a sonné pour enterrer définitivement
toutes les dictatures, et propulser une magnifique vague de démocratie
dans le monde. A la Révolution de velours ont fait écho dans le monde
entier d’autres mouvements y compris la Révolution violette en Iraq, la
Révolution rose en Géorgie, la Révolution orange en Ukraine, la
Révolution des Tulipes dans le Kirghizistan, et la Révolution du Cèdre
au Liban.
Liu Yazhou, un enfant intelligent et réputé des hauts fonctionnaires du PCC s’est exclamé surpris : «
Les efforts anti-terroristes des États-Unis en Afghanistan ne sont pas
ce qui est le plus effrayant pour la Chine ; ce qui est le plus
effrayant est la vague de démocratie qui entoure la Chine. Toutefois,
la plus grande peur du PCC n’est pas la démocratie mais la profonde et
incontournable crise dans laquelle il est tombé ».
Que faire,
impuissant, à la vue des fleurs qui se fanent. Quatre-vingts ans de
belles imaginations s’avèrent n’être qu’un songe. Quatre-vingts ans de
soi-disant cap révolutionnaire s’avèrent n’être que meurtres et
accumulation de la rétribution. Quatre-vingts ans d’histoire fabriquée,
glorieuse du PCC s’avèrent n’être que des notes pour la poursuite en
justice.
Le Parti récolte ce qu’il a semé. Le ciel est vaste et englobe tout, et il n’a pas d’omissions.
Le temps de récolter son fruit mauvais est arrivé.
La
plus grande crise du PCC est causée par son défi à la moralité. Il
utilise les moyens les plus vicieux de l’histoire, y compris les
ressources nationales pour mener les activités d’un gang et tuer Liu
Chunling sur la Place Tiananmen [2], afin d’inciter à la haine contre
la moralité parmi le peuple.
Souvenez-vous d’un fait important :
les tyrans à travers toute l’histoire, ont, au pire, commis des actions
qui ont corrompu la moralité et l’ordre social. Seul le PCC vise
intentionnellement la moralité et essaie de l’éliminer, ayant pour
conséquence la crise de moralité à laquelle le PCC fait face
aujourd’hui. Par conséquent, dès ses débuts, le PCC était voué à finir
dans un échec total.
Grâce aux Neuf Commentaires, qui ont
éveillé chez les gens moralité et conscience et ont fondamentalement
percé à jour la culture du PCC, contre l’humanité et la moralité, la
perversité et l’absurdité du PCC sont aujourd’hui exposées au grand
jour. Correspondant à la vague de démocratie qui a entouré le PCC de
l’extérieur, la vague de démissions du PCC le fait s’effondrer de
l’intérieur. Au lieu de recourir à une opération pour enlever la
tumeur, mieux vaudrait utiliser la moralité pour désintégrer le noyau
de cette tumeur maligne. Elle permettrait aux cellules hypertrophiées
et les plus infectées du cancer d’être restaurées et ranimées, ce qui
serait la méthode la moins nocive et la plus efficace.
* * *
Notes :
[1] « La guerre est proche » (voir le texte ci-dessous) a été publié la première fois sur Internet en janvier 2003 sous le titre « Discours récent d’un fonctionnaire de haut rang de l’Armée populaire de Libération » sur des sites web tels que www.mwjx.com. Le 11 octobre 2003, il a été publié sur www.chinaren.com sous le titre « La guerre est proche - Chi Haotian ». Il a été également publié sous le titre « Chine, as-tu encore dix ans de paix ? ». Chi Haotian a été en fonction jusqu’en 2004, ce qui signifie que « La guerre est proche » a été publié alors qu’il était encore un haut fonctionnaire de la RPC. « La guerre n’est plus très loin et va enfanter le siècle chinois » (voir le texte dans la Partie II de cet article) a été publié le 15 février 2005 sur www.peacehall.com.
Les deux discours ont été publiés sur www.boxun.com le 23 avril 2005.
[2]
Le 23 janvier 2001, le gouvernement chinois a mis en scène un incident
d’auto-immolation sur la place Tiananmen que les médias chinois dirigés
par l’État ont immédiatement imputé au Falun Gong. Une de ceux
impliqués dans l’incident, Mme Liu Chunling de Kaifeng, Chine, a été
tuée sur la place par un coup à la tête porté par un policier en civil.
Un article dans le Washington Post a révélé que Mme Liu n’avait jamais
été connue pour pratiquer le Falun Gong. Une analyse du film de
propagande que le gouvernement a fait sur cet incident révélait les
nombreux faits qui soutiennent la conclusion que le gouvernement a mis
en scène cet incident. Néanmoins, les médias du gouvernement ont rendu
compte de cet épisode incessamment afin de tourner la population
chinoise contre le Falun Gong.
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La guerre est proche
Discours d’un fonctionnaire de haut rang du PCC plaidant en faveur d’une guerre nucléaire
Chi Haotian
Chers camarades,
C’est
le coeur lourd que j’utilise ce titre, mais c’est parce que
l’avancement de la Chine vers la modernisation a continuellement été
interrompu par des attaques et des invasions. L’exemple le plus
représentatif est la soi-disant « décennie d’or » (ou « décennie de
Nankin » 1927-1937), qui avec le recul n’a absolument pas été une
période « dorée ». A l’époque, la région nord-est de la Chine est
tombée sous l’occupation de l’ennemi le 18 septembre 1931. Le
gouvernement fantoche de la province de Hebei a aussi été établi à ce
moment-là. Malgré cela, la croissance économique était plutôt rapide ;
la construction des infrastructures progressait et le développement de
l’armée s’améliorait. La Chine commençait à prendre un peu espoir. Mais
les Japonais n’ont pu le tolérer. Les trois provinces qu’ils occupaient
dans le nord-est ne leur suffisaient pas. Ils lancèrent une invasion
globale de la Chine, qui devînt une nation contrainte de faire la
guerre sans relâche sur ses terres brûlées pendant huit ans. Bien que
la Chine aie gagné la guerre, elle a perdu la Mongolie Extérieure et en
sortie extrêmement blessée. Les pertes se sont élevées à plus de 600
milliards de dollars. Après huit ans de guerre, la Chine, déjà pauvre
et affaiblie, s’est retrouvée dans une situation jamais vue. Cet
épisode a grandement freiné sa modernisation.
Ne pas
reconnaître le développement de la Chine et entraver son avancement
vers la modernisation a toujours été le luxe de ces pays au pouvoir, en
particulier si l’on considère la politique nationale inchangée du
Japon. Nous avons souffert les leçons de l’histoire les plus
douloureuses à ce sujet. Il existe souvent une coopération entre les
pays, mais la base la plus fondamentale des liens qui les unissent est
la concurrence, le conflit et parfois même la guerre. La coopération
n’est que temporaire et conditionnelle, alors que la concurrence et les
conflits sont immuables. Ils sont le vrai sujet de l’histoire. C’est
pourquoi les soi-disant paix et développement dont on parle aujourd’hui
sont incorrects (au mieux, ce n’est qu’une mesure opportune). Il
n’existe pas de preuve concrète pour cette déclaration, et cela ne se
conforme à aucune expérience factuelle ou historique non plus. Sans
parler du fait que la Chine et le Japon sont des ennemis jurés à la
fois sur un plan géographique et historique, la séparation entre la
Chine et l’Union soviétique dans les années 1960 prouvent que tout pays
considère ses propres intérêts nationaux comme seul critère d’action.
Aucun pays ne laisse de place à la moralité. Dans le passé, la Chine et
l’Union Soviétique ont partagé la même idéologie, et fait face aux
mêmes ennemis. Le faible niveau scientifique et technologique de la
Chine n’était pas suffisant pour menacer l’Union Soviétique, pourtant
ils étaient divisés et bataillaient intensément l’un contre l’autre.
Une des raisons fondamentales de ces conflits était que l’Union
Soviétique ne tolérait pas d’avoir à ses côtés une Chine en constante
expansion.
Si la Chine et l’Union Soviétique, pays à la fois
faibles et forts, partageant la même idéologie et les mêmes ennemis,
pouvaient être divisés, alors il est plus qu’évident que les
incantations concernant « la paix et le développement, dont on parle aujourd’hui » qui mènent les stratégies politique, militaire et étrangère de la Chine, sont une illusion fragile et dangereuse.
La
déclaration selon laquelle la paix et le développement sont le centre
d’attention actuel est totalement erronée, unilatérale et est une
théorie qui engourdit les foules pour les raisons suivantes.
PREMIEREMENT : Attaquer la modernisation chinoise a toujours été une politique nationale des grandes puissances
DEUXIEMEMENT : Le développement attire danger et menaces. Sans « droit à la guerre », pas de droit au développement
«
Le développement attire danger et menaces » s’est avérée être la règle
générale tout au long de l’histoire mondiale. Il n’y a que quelques
exceptions au cours de l’histoire chinoise. Citons par exemple la
dynastie des Han qui a pu commencer à se développer « portes fermées »
seulement après qu’elle aie vaincu ses rivaux à l’intérieur de ses
limites géographiques de l’époque. Elle a ensuite développé l’idéologie
d’ « harmonie mondiale ». Puisque ce n’était pas une affaire qui
impliquait le peuple, les militaires, l’économie ou la culture, il n’y
avait pas de concurrent et aucune autre race ne pouvait rivaliser avec
celle des Han. Pendant l’ère des Royaumes Combattants (403-222 av.
J.-C.) au cours de l’histoire de la Chine ancienne, le développement
d’un pays signifiait une menace pour un autre pays, et ceci constituait
la règle universelle de l’histoire mondiale. C’est aussi le cœur et la
fondation de la diplomatie occidentale dont le cardinal français
Richelieu était le père. Il a été le premier dans ce domaine à sortir
de l’ « ignorance » médiévale. Il a créé la tradition de la diplomatie
moderne, orientée vers les intérêts nationaux et débarrassée de toute
restriction morale et religieuse. La politique diplomatique établie par
le cardinal Richelieu a été bénéfique pour la France pendant plus de
deux cents ans, rendant possible sa domination de l’Europe. Richelieu a
planifié la guerre de Trente Ans qui a causé tant de souffrances à
l’Allemagne et l’a divisée en petites régions féodales. Ce chaos a
perduré jusqu’à ce que Bismarck aie réunifié l’Allemagne. Ce processus
de réunification de l’Allemagne démontre la règle ci-dessus, à savoir
que sans le « droit à la guerre » de Bismarck, il n’y aurait pas eu de
réunification nationale ; sans parler du droit au développement.
TROISIEMEMENT : La modernisation sous le sabre, le seul choix de la Chine
Le
concept d’une « menace Chinoise » est vraiment juste et est une pensée
occidentale typique. La pensée chinoise « je ferme ma porte pour
développer ma propre économie – Cela dérange-t-il quelqu’un ? » est
insensée, elle ne correspond pas à la « pratique internationale commune
». Sous l’ère des Royaumes Combattants, il n’y avait pas de place pour
la gentillesse et la douceur dans le monde cruel des intérêts nationaux
– quiconque avait la moindre idée fantasque était cruellement punie par
l’histoire. Le développement de la Chine est vraiment une menace pour
un pays comme le Japon et pour beaucoup d’autres. La Chine ne le voit
peut-être pas de cette façon elle-même, mais il lui est impossible de
changer ce genre d’opinion très répandue sur le plan international, y
compris au Japon. La Chine doit avoir conscience qu’elle est une menace
pour les autres.
Par « droit », on entend que chaque nation et
race devrait avoir des droits vitaux et de développement. La Chine a
besoin d’importer du pétrole pour son développement économique, et
d’importer des matières premières telles que le bois de construction
afin de protéger son environnement de la déforestation. Ceci est très
raisonnable. Cependant, les grandes puissances ont leurs propres «
raisons » et un pays tel que la Chine aura besoin de consommer 100
millions de tonnes de pétrole en 2010 et 200 millions de tonnes en
2020. Les grandes puissances toléreront-elles cela ?
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La source de
la plupart des guerres au cours de l’histoire a été la lutte pour les
ressources vitales de base (y compris les terres et les mers). Le sujet
du conflit va changer dans l’ère de l’information actuelle, mais sa
nature restera la même. Des civilisations développées et avancées comme
Israël ont lutté pendant plus de 50 ans et sont maintenant en train de
lutter contre les Palestiniens pour des morceaux de terre non
significatifs (comprenant la lutte pour les ressources en eau). Afin de
lutter pour des droits de développement très raisonnables (à moins que
les Chinois soient satisfaits de la pauvreté actuelle, et préparés à
abandonner le droit au développement), la Chine a besoin d’être prête
pour la guerre. Ce n’est pas nous qui décidons de cela. Ce n’est pas la
volonté de gentils individus parmi nous ; ceci est décidé par la «
pratique internationale commune » et les grandes puissances du
mondiales.
Les vingt ans de politique de développement pacifique
touchent à leur fin. L’environnement international a subi un changement
fondamental ; les grandes puissances ont déjà planifié, une fois de
plus, d’arrêter le progrès de la Chine vers la modernisation. La Chine
a donc besoin de développer et de protéger son propre droit au
développement et par conséquent d’être prête pour la guerre. C’est
seulement en étant prête pour la guerre que la Chine peut gagner
l’espace et le temps pour son prochain développement.
Vingt ans
de développement « pastoral » touchent à leur fin. Le prochain
programme devrait et doit être « la modernisation sous le sabre ».
QUATRE : La diplomatie détermine les affaires internes
Aujourd’hui
en Chine, même la personne la plus belliciste ne préconiserait pas
nécessairement la guerre, bien que nous ayons suffisamment de raisons
pour la faire, comme l’unification du pays et la maintenance des droits
en mer de Chine méridionale. Ce serait pour le droit au développement
chéri par les Chinois, qui en ont rarement bénéficié au cours des 160
dernières années. Puisque ce droit au développement est de plus en plus
menacé, l’heure est venue de saisir les armes pour préserver ce droit
national.
Il est établi que les affaires intérieures
déterminent la diplomatie, mais n’oublions pas qu’au cours de cette ère
des Royaumes Combattants, la diplomatie parmi les plus grandes nations
détermine aussi les affaires intérieures. Ce n’est pas qu’un point de
vue théorique, mais une expérience historique vécue par la République
Populaire de Chine. Dans les années 70, le budget de la défense en
Chine a dépassé celui des sciences, de l’éducation, de la culture et de
la santé tous réunis (plongeant le peuple chinois dans la pauvreté). Je
ne veux certainement pas la même chose aujourd’hui ; en fait, ce dont
nous avons le plus besoin en Chine, c’est d’investir dans l’éducation.
Mais les puissances du monde le permettront-elles ? Ne voudrait-on pas
investir plus en science, éducation, culture et santé ?
Certains
ont dit que, selon les soi-disant documents soviétiques décodés,
l’Union Soviétique n’avait pas de plans pour envahir la Chine. Mais
même si le décodage de ces documents était correct, cela ne peut
toujours pas expliquer la réalité de ce moment historique. Parce que la
Chine a suffisamment fait de préparations spirituelles et matérielles
sous la direction du PCC, elle a énormément augmenté les risques
d’invasion par l’Union Soviétique. En conséquence, l’histoire a évolué
dans une autre direction. Une apparence faible ne peut attirer que
l’agression. Ceux qui voient les choses sous cet angle-là sont les
véritables défenseurs de la paix.
CINQ : Le mal est le résultat de la mendicité pour la bonté – Y a-t-il de la paix pour la Chine dans les dix prochaines années ?
Afin
d’interrompre l’avancement de la modernisation en Chine, pour priver
les Chinois du droit au développement, les puissances mondiales ont de
nombreuses cartes à jouer. Les trois cartes les plus évidentes sont les
« trois îles », la plus importante étant Taiwan. Si la guerre éclatait
dans les détroits de Taiwan, le pouvoir de prendre des décisions ne
serait pas entre nos mains, ni entre les mains de ceux qui préconisent
l’indépendance de Taiwan, mais entre les mains des Etats-Unis et du
Japon. Si une telle guerre éclatait, ce ne serait pas simplement une
guerre d’unification. En effet les Etats-Unis et le Japon sont
déterminés à priver la Chine de son droit au développement. Ceci va une
fois de plus interrompre le processus de modernisation en Chine.
Pendant la guerre sino-japonaise (1894-1895), lorsque le Japon a envahi
la Chine, il ne lui a pas seulement fait céder du territoire et fait
payer des indemnités, il a interrompu sa modernisation en privant les
Chinois de leurs droits civils.
Nous devons donc considérer une
guerre des détroits de Taiwan comme une bataille stratégique décisive.
Si l’on se base sur notre force militaire actuelle, il est hors de
question de parler de cet aspect vis-à-vis des Etats-Unis et du Japon,
spécialement de celui des Etats-Unis, parce que la Chine n’a que
quelques missiles intercontinentaux alors que les Etats-Unis sont
déterminés à développer le Missile National de Défense.
Pour
empêcher de retarder l’éclat de la guerre des détroits de Taiwan, cette
guerre devrait d’abord être élevée au niveau d’une « bataille
stratégique symétrique décisive ». Si l’on perd cette guerre, les
résultats seraient pires que ceux qui ont suivis la guerre
sino-japonaise. Il ne faut donc pas qu’il y ait de guerre, sinon nous
allons devoir détruire totalement le Japon et mettre les Etats-Unis
hors de combat, et ceci ne peut être obtenu que par une guerre
nucléaire.
Avoir obtenu le mal en poursuivant la bonté, c’est le
résultat de notre politique actuelle. Obtenir la bonté en demandant la
mal – seulement avec le pouvoir capable de totalement anéantir le Japon
et paralyser les Etats-Unis, pouvons-nous gagner la paix ; sinon le
problème de Taiwan ne peut être prolongé au-delà de 10 ans, et la
guerre sera déclarée au cours de ces 10 ans !
SIX : L’hégémonie est la caractéristique signifiant l’existence d’une puissance mondiale
Qu’est-ce
qu’une puissance mondiale ? Une nation employant l’hégémonie est une
puissance mondiale ! On serait massacré par les autres à volonté et
notre destin (y compris le droit au développement) contrôlé par
d’autres, comme on contrôle une marionnette. L’hégémonie sous cette ère
des Royaumes Combattants est un fait objectif. La question est si nous
le réalisons ou pas et s’il s’agit d’une recherche active ou d’un acte
passif. Tous les problèmes en Chine, y compris le problème des trois
îles, celui du développement de l’industrie, la solution au problème
national de plusieurs classes sociales—sont en fait tous des problèmes
impliquant la lutte pour l’hégémonie chinoise.
Pour avoir
l’hégémonie, nous ne pouvons pas continuer la lutte interne. Nous
devons disposer d’une stabilité nationale et d’une unité. L’Angleterre,
par exemple, a été capable de réaliser il y a longtemps « le changement
de la classe ouvrière en noblesse » grâce aux énormes bénéfices des
colonies d’outre-mer. L’énorme indemnité que le Japon a extraite de la
Chine n’a pas bénéficié qu’aux hauts rangs japonais mais aussi aux
niveaux inférieurs. Les temps ont changé et le sentiment national est
différent mais l’essence reste la même. Nous ne devons pas seulement
regarder les affaires militaires et la diplomatie d’un point de vue de
l’hégémonie, mais devons particulièrement regarder les couches sociales
nationales et les problèmes d’ajustement d’intérêts de classe d’un
angle d’hégémonie. Ces gens de haut rang qui exercent une pression sur
les gens de classes inférieures et les exploitent ne peuvent
représenter le bien-être national dans cette ère de Royaumes
Combattants. Ils sont décadents, dégénérés, peu prometteurs et
devraient être restreints et éliminés. Seuls les plus hautes classes
mures et sages peuvent représenter le bien-être national dans la mise
en place de la « politique de concession » et conjointement avec les
dirigeants des classes inférieures, pour saisir les avantages à
l’étranger (ce problème est plus complexe et sera discuté en détail
ultérieurement. La Chine a d’énormes opportunités à l’étranger, mais
nous ne les avons pas encore exploité activement).