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L’ultime va-tout du PCC : La guerre biologique et nucléaire - 2e Partie

Écrit par San Renxing, La Grande Époque
01.09.2005
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Voici la deuxième partie de l’analyse de San Renxing sur les plans

militaires inquiétants du parti communiste chinois, révélés par des

discours du précédent ministre de la défense chinois quant à la

possibilité d’une guerre nucléaire contre les Etats-Unis

 

V. Vendre la terre de ses propres ancêtres, puis perdre la raison

Face

aux changements significatifs sur la scène du monde, le lecteur peut se

mettre lui-même à la place du PCC : Quel est le futur du PCC dans une

crise aussi profonde?

Pour le résumer succinctement, le PCC n’a

pas d’issue, ayant devant lui un cul de sac et sa voie de repli étant

bloquée. Si le chemin face à lui réfère au communisme, que l’Union

soviétique et l’Europe de l’Est sont déjà enterrés, alors sa retraite,

le chemin vers la démocratie, a été enterrée par le PCC lui-même par le

massacre de la Place Tiananmen.

  • montage représentant la chine et de simages de guerre(攝影: / 大紀元)

 

Le Parti communiste en Union soviétique et en Europe de l’Est s’est

désintégré en un temps très court - cela a été sans aucun doute un coup

mortel pour Deng Xiaoping, qui se considérait lui-même comme un

communiste orthodoxe. Deng a semblé calme en surface, mais il était

extrêmement effrayé intérieurement. Deng a consacré sa vie entière au

communisme mais il a commencé à s’éveiller à la réalité avant sa mort.

Pour lui et pour sa clique, qui ont ordonné les meurtres militaires de

la Place Tiananmen en 1989, ce qui les a vraiment inquiétés n’était pas

de savoir si leur cause réussirait (car elle avait déjà échoué), mais

plutôt si le gouvernement du PCC s’effondrerait. Une fois que le PCC

s’effondre, ils deviendront (deviennent) des criminels pour les

générations à venir. Le sort et la dette de sang du PCC sont devenus le

sort et la dette de sang de cette clique !

 

Après le massacre du

4 juin, Deng Xiaoping a fait des déclarations comme « Plus d’arguments

», «le développement est une vérité exigeante» et « Je suis le fils du

peuple ». Après avoir fait ces déclarations absurdes mais douces et

plaisantes, il s’est tu pour commencer à concevoir l’ultime et furieux

va-tout du PCC, qui correspond à ce que fait une bête lorsqu’elle est

acculée et lutte pour sa survie. Avant de laisser sa vie s’achever et

de descendre retrouver Marx, Deng a fait trois choses :

 

     1) Se lier d’amitié avec les voisins de la Chine dans l’intérêt d’une bataille décisive contre les États-Unis.

Pour

accomplir ses objectifs, Deng n’a pas hésité à offrir à la Russie

d’acheter un territoire chinois. Aujourd’hui, autorisée par Jiang Zemin

et Hu Jintao, la Chine a donné à la Russie de la terre dans le nord de

la Chine de la taille de presque 50 fois Taiwan. Les gens sont

déconcertés : le PCC est-il fou de brader la Chine comme cela ? Cet

épisode absurde a ses raisons secrètes. En surface le PCC ressemble à

un joueur devenu fou après avoir tout perdu, mais il y a des secrets

derrière ces actions.

 

Dans le monde d’aujourd’hui, quelles

raisons ont mené le PCC à vendre la terre de ses ancêtres de façon si

décidée et généreuse? Quoi qu’il en soit, si ce n’était une mise

désespérée pour des questions de vie ou de mort, comment le PCC

aurait-il pu faire un pari d’un prix aussi élevé? Pour attaquer un

Taiwan, le PCC doit-il payer avec 50 Taiwan?

Tel n’est apparemment

pas le cas. Il y a une seule chose qui puisse mettre en balance le

poids de 50 Taiwan dans l’autre plateau : la survie du PCC. Le PCC a

pensé que s’il pouvait résoudre le problème posé par les États-Unis, il

pourrait devenir «le roi du monde» immédiatement, et les soucis

extérieurs et les ennuis intérieurs disparaîtraient tous. Mais

affronter les États-Unis n’est pas un jeu de société ou une soirée

animée. D’abord la réalité est que, la situation la plus indésirable

est d’être attaqué sur deux fronts à la fois. Ce serait terrible que la

Russie attaque par derrière en pleine bataille frontale. Alors, il

devenait nécessaire et essentiel de dépenser une fortune pour acheter

la Russie. Si ce n’est pour cela, comment expliquer que le PCC vende le

pays et sa terre dans une telle hâte, au lieu de passer du temps à

préparer ses funérailles à ce stade terminal de sa maladie?

 

Qui

plus est, en le considérant de la perspective du PCC, son plan rêvé

revient à gagner le monde entier en renonçant à 50 Taiwan.

 

     2) Développer des armes biologiques de destruction massive.

Depuis

les années 1990, le PCC a investi les ressources du pays pour

développer des armes biologiques, et on pense que le PCC possède ces

armes. Les discours réfèrent à «utiliser des armes non destructives de

masse» pour «éliminer les États-Unis de la scène». Ce ne sont pas

simplement des mots creux de menace. Récemment la police des forces

spéciales et la jeunesse radicale ont prétendu sur Internet «nettoyer

Taiwan» ou «vouloir cet endroit appelé Taiwan» ce qui signifie tuer les

gens de Taiwan pour vider l’endroit. Ce n’est pas totalement sans

fondement.

 

 

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Ces bonnes personnes qui oublient l’histoire du PCC ne

peuvent souvent pas croire que le PCC a suffisamment d’audace pour

développer et produire des armes nucléaires modernes de destruction

massive en violation des traités internationaux et des principes

humains élémentaires. Mais n’oubliez pas comment la Place Tiananmen a

été nettoyée en 1989. Sur ce qu’on considère comme une terre sainte

démocratique, le PCC a soigneusement planifié une opération efficace de

meurtre, en utilisant des balles explosives pour tirer, de l’essence

pour brûler les corps morts, et des avions pour transporter les

cendres. Il a fait se volatiliser ces élites de la nation chinoise sans

laisser de traces. Mais par la suite, il a solennellement déclaré

qu’aucun étudiant n’avait été tué sur la Place Tiananmen, excepté 23

soldats. Où se situe pour le PCC la limite morale à ne pas dépasser?

 

De

plus, si un chef de bande armée tel que Ben Laden a pu défier les

États-Unis sur son propre sol en détruisant le World Trade Center,

comment pouvons nous traiter avec légèreté le terrorisme d’un État qui

a le contrôle sur des armes nucléaires et biologiques? Sans parler de

plus sérieuses attaques, il ne faudrait au PCC que quelques jours pour

répandre des poisons incolores et transparents en utilisant les lignes

aériennes civiles, et cela causerait suffisamment de dommages avec un

impact certain.

Autrement dit, en traitant avec ces voyous, comment le monde peut-il être aussi négligeant et manquer autant de vigilance?

 

3) Bâtir une structure de pouvoir spéciale pour la phase finale.

 

En

tirant les leçons de l’effondrement du système communiste sous

Gorbatchev, le PCC a adopté la stratégie consistant à utiliser une

clique militaire pour contrôler la scène centrale derrière le Massacre

de Tiananmen de 1989. Il est devenu banal de dire que les canons mènent

le Parti. Sa clique a le pouvoir absolu pour gérer les affaires

militaires importantes et les affaires d’état, telles que la

destitution de Zhao Ziyang ancien secrétaire général du Parti

communiste chinois, mais il n’est pas sensé interférer avec les

affaires quotidiennes. Si le devant de la scène est occupé par le

Comité central, alors la clique qui a opéré depuis les coulisses, qui

comprend Deng Xiaoping, Liu Huaqing, Chi Haotian et leurs successeurs,

représente le réel bureau exécutif, son esprit, son intérêt et sa vie.

Cette structure de pouvoir unique, en effet, a ajouté une couche

supplémentaire à l’assurance du PCC. Le «conseil d’administration» a

inclus soigneusement des personnes choisies de différentes sortes,

parmi lesquelles le parti royal de Zeng Qinghong, et des adeptes

increvables tels que Jiang Zemin et Hu Jintao, qui n’ont pas de

scrupules à tacher de sang leur position, ainsi que des fonctionnaires

corrompus spécialisés dans la flatterie et les intrigues.

 

Comparé au spectre pervers du PCC, le nazisme n’a été qu’un jeu d’enfants !

 

Quiconque

est autorisé à devenir un membre du comité d’administration du PCC doit

être extrêmement loyal envers le Parti. Par exemple, bien que la

famille du haut fonctionnaire militaire Yang Shangkun [3] ait été très

proche de Deng Xioaping, ce dernier a perdu confiance parce que les

Yangs n’étaient pas suffisamment «purs et durs»dans leurs points de vue

sur le Massacre de Tiananmen en 1989. Donc de cette perspective, il est

clair que les gens qui chérissent encore des illusions sur le PCC et Hu

Jintao ne comprennent pas véritablement la vraie nature du PCC et le

mécanisme interne de sa structure autoritaire tandis qu’il se dirige

vers sa fin.

 

Parce que Jiang Zemin répond si bien à l’inclinaison

du PCC pour l’action violente, il avait les faveurs du conseil

d’administration, ignorant son contexte familial de traître et tolérant

son comportement bizarre et sale. En clair, Jiang connaissait bien la

violente nature du PCC et a intentionnellement lancé le mouvement de

l’«évolution anti-pacifique» une fois qu’il fut en poste. Bien que

Jiang semblait irriter Deng, en fait il pourvoyait aux plus grands

plaisirs de Deng, rendant Deng suffisamment à l’aise pour passer la

couronne à Jiang. Un tel comportement illustre clairement l’énorme

escroquerie dont les deux hommes étaient capables. Bien que Jiang ait

été semoncé dans la tournée méridionale de Deng, ce n’était simplement

qu’un subterfuge.

 

Une autre question est : Comment Jiang Zemin, étant

donné ses antécédents, a-t-il pu poursuivre la politique de persécuter

le Falun Gong alors qu’il ne détenait pas la majorité au sein du Comité

Central permanent du PCC? C’est parce que la plupart des préoccupations

du Comité se limitaient à la politique, tandis que Jiang et le conseil

des directeurs étaient concernés par les plus hauts niveaux de moralité

et l’instinct de survie. Le spectre du PCC et l’esprit de Jiang ont

senti la menace de la droiture du Falun Gong et ont voulu par

conséquent l’éradiquer.

L’ultime va-tout que le PCC a initié dans

ses derniers jours a commencé avec Deng, qui cachait son caractère

brutal derrière une apparence de douceur, il a pris forme entre les

mains de la crapule de Jiang, et il est aujourd’hui mis en œuvre par le

meurtrier souriant, Hu Jintao. Jiang a entrepris la tâche de mettre à

exécution la dernière donne durant les temps de crise et n’a pas laissé

tomber ses prédécesseurs. Il a fait deux choses importantes, il a

utilisé toute sa force pour supprimer la moralité, et il a préparé la

voie pour une bataille décisive contre l’humanité.

 

Ce que le PCC

a créé grâce à sa suppression de la moralité est un cancer malin sans

précédent qui a enveloppé tout l’hémisphère oriental, et en enflant,

sert d’axe du mal, fournit une base pour le terrorisme et les luttes

avec le fondement de l’humanité dans le monde. Dans cette partie du

monde, les montagnes et les rivières gémissent et les cœurs humains

sont devenus mauvais. Même un roc de 270 millions d’années en Chine

s’est fendu [4], révélant les mots «Le PCC périra».

 

Jiang

Zemin s’est secrètement appuyé sur la clique militaire et a utilisé He Xin et

Wang Huning (auteur de la théorie des «Trois représentations» de Jiang)

pour mettre en œuvre ses plans. Il a délibérément lavé le cerveau de

toute la Chine et l’a empoisonnée, remplaçant de cette façon les

cellules saines par des cellules malignes et propageant leur cancer à

travers le monde entier. Voici un bref résumé de leurs plans :

 

     1)

Contourner toutes les contraintes morales et les lois internationales

et établir une théorie militaire du terrorisme appelée «lutte sans

restriction». Le PCC semble fournir conseil et soutien pour les pays

pauvres et faibles, mais en fait il encourage la torture et le meurtre

d’innocents. Il a fait l’éloge de l’attentat suicide, le qualifiant

d’héroïsme. Tout cela faisait écho dans les pensées de la population

chinoise, empoisonnée par la culture du PCC. Donc, lorsque le 11

septembre, Ben Laden a appliqué cette théorie avec succès, il a été

applaudi dans toute la Chine, berceau de la théorie de la «lutte sans

restriction». De nombreux Chinois n’en finissaient pas de haïr Georges

Bush et d’apporter leur sympathie à Saddam Hussein après que les

événements du 11 septembre aient eu lieu.

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     2) Promouvoir la nécessité de la guerre : «La guerre n’est plus très loin et va enfanter le siècle chinois».

Promouvoir la violence et le terrorisme comme des arts sacrés. «Les morts fourniront l’élan faisant avancer l’histoire.»

 

Promouvoir l’agression comme raisonnable : «Sans un droit à la guerre, il n’y aurait pas de droit au développement».

«Le développement d’un pays menace d’autres pays, c’est une règle

générale de l’histoire du monde». «Le seul choix de la Chine est d’être

sous la modernisation du sabre».

 

Promouvoir la colonisation extensive :

«Le réveil national», «Mener les gens à marcher n’importe où». «Libérez

les Américains d’origine asiatique de bas statut social», et établir des compagnies contrôlées par le PCC en Amérique.

 

Avec

de telles déclarations, les discours vocifèrent contre toute contrainte

éthique, prétendant que le cruel réussit et que le bienveillant perd,

que l’intérêt national prime avant tout et ne laisse aucune place pour

la moralité. Ils vantent une philosophie consistant à demander le bien

tout en faisant le mal, à travailler pour l’opposé de ce qui est

déclaré, ce qui signifie que la fin justifie les moyens. Ils emploient

la littérature de la période des États guerriers, faisant un héros du

premier Empereur de la dynastie Qin (221-206 av. J.-C.), déclarant que

le tyran n’avait pas d’autre choix que de tuer gratuitement afin

d’unifier la Chine. En même temps, ils promeuvent la discussion de la

supériorité chinoise, comment, par exemple, les asiatiques ont les

premiers découvert l’Amérique et propagé la civilisation. Ils disent

que la guerre est inévitable du fait de la pression de la population et

de la nécessité d’étendre les régions habitables du pays. En résumé,

ils lèvent haut le drapeau chinois tout en invoquant le racisme

d’Hitler afin de préparer l’opinion publique pour le

néo-fascisme-communisme chinois.

 

     3) Inscrire les Trois

Représentations à l’intérieur de la constitution du Parti. Ceci était

inséré dan le rapport de Jiang au 16e Congrès du Parti le 8 novembre

2002 comme le grand objectif du réveil national. La nouvelle

Constitution du Parti stipulait que le PCC est l’avant-garde de la

Chine. En un mot, le PCC est passé d’exporter la révolution à exporter

la guerre. Il a développé le marxisme-léninisme et s’est transformé en

nazisme.

 

Qui a dit que le PCC était dans un cul-de-sac? Cette

bête blessée, malade et fatiguée était en danger, mais alors qu’elle

dépérissait sans presque aucun espoir, elle a finalement trouvé quelque

chose à quoi s’accrocher. Elle a réalisé qu’un seul pas sépare le

communisme du nazisme !

Par conséquent, les discours résument tout

à fait les leçons apprises des booms économiques et des destructions de

l’Allemagne, du Japon et d’autres régimes fascistes. Ils indiquent que

le PCC doit suivre la voie du fascisme, convenant bien à la situation à

laquelle le PCC fait face aujourd’hui : des difficultés à la fois chez

lui et à l’étranger, sans issue possible face à une situation fatale.

Dans le monde d’aujourd’hui, prenons divers pays comme l’Amérique,

l’Angleterre, l’Australie et l’Europe, même les anciennes puissances de

l’Axe de l’Allemagne, du Japon, d’Italie, ainsi que la Russie qui fut

un jour sous le contrôle du Parti communiste pervers : lequel d’entre

eux a le désir de se diriger vers le fascisme? Certainement aucun. (et

même dire que l’espace existant est insuffisant pour la population est

un mensonge éhonté, puisque la densité de la population par kilomètre

carré est de 733 pour Taiwan, de 325 pour le Japon et seulement de 135

pour la Chine!)

 

«La guerre n’est plus très loin et va enfanter le siècle chinois»,

dit Jiang Zemin dans un de ses discours, dans lequel il compare les

forces et les faiblesses du PCC avec celles des Nazis. D’après le ton,

il est facile d’imaginer l’état d’insanité d’un homme qui prendrait la

honte pour un honneur.

 

«Cependant, lorsqu’on compare

l’Allemagne et la Chine, les problèmes de l’Allemagne ne sont que

broutilles. Combien d’habitants comptait l’Allemagne? Quelle en est sa

superficie, et de combien d’années est son histoire? La flamme nazie

s’est éteinte après un peu plus d’une décennie, tandis que la nôtre a

brûlé pendant plus de 80 ans et est encore éclatante. Nous avons

proposé la théorie du ‘déplacement du centre de la civilisation’, qui

est certainement plus profonde que la ‘théorie du maître du monde’

d’Hitler».

 

D’après cette citation de Jiang Zemin, comparé au spectre pervers du PCC, le nazisme n’a été qu’un jeu d’enfants !

 

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VII. Écoutez attentivement la mélodie de la mort car dans la musique se cache le fort désir de tuer

 

Après

que Hu Jintao a obtenu les deux titres de Secrétaire général du PCC et

de président de la Chine, Jiang Zemin était très réticent à céder ses

deux fonctions au comité militaire. Ça n’était certainement pas dû aux

minables tours du président Zeng Qinghong et à la soudaine attaque du

vice-président de la Commission militaire, Zhang Wannian, comme les

rumeurs l’ont établi, pour demander à Jiang de rester à son poste. La

raison fondamentale est que le conseil d’administration n’était pas à

l’aise avec l’attitude retenue par Hu envers la question du Falun Gong.

Le conseil a également voulu voir si Hu effectuerait loyalement le plan

de dernier recours pour prolonger la vie du PCC qui a commencé sous

Deng et mûri pendant le régime de Jiang.

 

Ce n’est que le 31

juillet 2004 que le conseil d’administration a changé d’attitude et a

publiquement déclaré que Hu était le centre du PCC. La loyauté de Hu a

dû être suffisante. Ce qui est sûr, c’est que le 24 novembre 2004, Hu a

organisé une réunion d’étude du Bureau Politique. La réunion, dont le

but apparent était d’inviter le professeur Qian Chengdan de

l’université de Nanjing à parler de l’ascension et de la chute des

grandes puissances, était en réalité une transition vers le plan d’un

ultime va-tout pour prolonger la vie du Parti et une démonstration de

la fidélité de Hu au drapeau du fascisme.

Nous devrions savoir que

pour le PCC cela n’a pas de sens d’examiner l’ascension et la chute des

grandes nations. Le seul modèle, parmi les trois modèles que les

grandes nations ont suivis, et qui continue à survivre et à prospérer,

est le modèle capitaliste de liberté économique. Le PCC oserait-il

prendre un tel chemin?! Étant donné que les deux autres modèles sont

ceux du communisme et du nazisme, comment pourrait-il continuer sur un

de ces chemins? Actuellement, après les efforts de Jiang Zemin et de He

Xin, le cul-de-sac du nazisme est devenu «la grande route d’or» du PCC.

Nous pouvons en conclure que le sujet exposé à répétition dans les

discours - La route du communisme au nazisme - est ce qui excite le

PCC. À ce moment critique de vie ou de mort, le PCC n’a absolument pas

le temps d’inviter un professeur pour une causerie aléatoire. La seule

explication raisonnable est que le discours de Qian Chengdan sur

l’ascension et la chute de grandes nations était un spectacle splendide

et un prélude de fond à la connaissance historique (on dit même que les

grandes lignes de la conférence de Qian étaient fournies par He Xin). A

peine Qian Chengdan avait-il quitté la scène que la «Rhapsodie sauvage du destin» commençait son refrain désespéré !

 

Qu’il

soit sincère, loyal, ou pas, Hu Jintao s’est lui-même laissé emporter

sur l’ «Express du dragon de feu» pour suivre point par point le rythme

du conseil d’administration. Par exemple, Hu devra rejeter la réforme

politique, apprendre d’après la politique Nord-coréenne, resserrer

l’emprise sur le discours et l’idéologie, propager l’athéisme encore

plus fortement, continuer de réprimer le Falun Gong, finaliser des

traités déloyaux, formellement nommer la «marche des volontaires» comme

hymne national au moment de l’approche du cinquantième anniversaire du

régime, faire passer la «loi anti-sécession», envahir la mer du Japon

avec la force militaire, tester des missiles à longue portée à partir

de sous-marins, accumuler des ressources militaires même sans menaces

extérieures, augmenter le budget militaire de la Chine et accroître sa

puissance militaire, dépêcher des forces militaires pour les impliquer

dans les gouvernements locaux, augmenter le financement de l’armée, et

tout spécialement changer la stratégie militaire - de dissimuler la

force militaire à déclarer la guerre nucléaire, ainsi de suite.

 

Nous

fournissons deux exemples pour montrer comment l’esprit de la nation se

dirige vers le fascisme ou la promotion du PCC, et montrer l’exécution

de son furieux et ultime va-tout.

 

     1) Entre février et mars 2004,

le PCC a ordonné à sina.com de mener un sondage à grande échelle sur

Internet. Parmi plus de 30 000 jeunes, 82,6 % ont répondu «oui» à la

question de tirer ou non sur les femmes et les enfants ! En Chine, on a

découvert qu’il y a autant de jeunes fascistes potentiels, encore plus

que ce à quoi le PCC s’attendait. Chaque fois que des terroristes

internationaux servent de bombes humaines, à l’Est, la «tumeur géante

reçoit une infusion gigantesque de sang». Pas étonnant que le PCC soit

si heureux et confiant à propos de son va-tout désespéré.

Soit dit

en passant, qui ferait un tel sondage sur Internet en temps de paix?

L’explication raisonnable se trouve dans les discours de Chi Haotian.

C’est le besoin du conseil d’administration pour mener à bien son

furieux et ultime va-tout.

 

     2 ) Zhu Chenghu, président et

professeur à l’université de la Défense nationale est aliéné, inhumain,

ignorant, et n’a aucune notion de ce qu’est la droiture dans le monde

humain. Comment pourrions-nous nous attendre à ce que le système

d’éducation de la défense nationale du PCC enseigne à quiconque comment

être bon? Comment pourrions-nous nous attendre à ce que le PCC fasse

quoi que ce soit de décent?

En résumé, ma raison d’écrire ce long

article est d’expliquer la nature du PCC, sa situation périlleuse, et

son furieux et ultime va-tout, en envoyant un avertissement aux

personnes bienveillantes dans le monde et tout spécialement aux

Chinois. Des quatre mouvements principaux de la Symphonie de la Mort

des 50 années de règne du PCC - Les mauvaises actions de Mao, Les

frustrations de Deng, La maladie terminale de Jiang, et L’état de mort

de Hu - il est facile de voir que, dans les trois derniers mouvements,

ce qui était caché et est graduellement devenu explicite est une

mélodie cohérente de meurtre.

 

* * *

Notes:

[3] Yang

Shangkun (25 mai 1907- 14 septembre 1998) était Président de la

République populaire de Chine de 1988 à 1993, et vice-président

permanent de la Commission militaire centrale.

[4] The Epoch Times : une roche vieille de 200 millions d’années porte les mots «le parti communiste chinois s’effondre ».

 

 

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