L’ultime va-tout du PCC : La guerre biologique et nucléaire - 2e Partie
Voici la deuxième partie de l’analyse de San Renxing sur les plans militaires inquiétants du parti communiste chinois, révélés par des discours du précédent ministre de la défense chinois quant à la possibilité d’une guerre nucléaire contre les Etats-Unis | |
V. Vendre la terre de ses propres ancêtres, puis perdre la raison Face aux changements significatifs sur la scène du monde, le lecteur peut se mettre lui-même à la place du PCC : Quel est le futur du PCC dans une crise aussi profonde? Pour le résumer succinctement, le PCC n’a pas d’issue, ayant devant lui un cul de sac et sa voie de repli étant bloquée. Si le chemin face à lui réfère au communisme, que l’Union soviétique et l’Europe de l’Est sont déjà enterrés, alors sa retraite, le chemin vers la démocratie, a été enterrée par le PCC lui-même par le massacre de la Place Tiananmen. |
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Le Parti communiste en Union soviétique et en Europe de l’Est s’est désintégré en un temps très court - cela a été sans aucun doute un coup mortel pour Deng Xiaoping, qui se considérait lui-même comme un communiste orthodoxe. Deng a semblé calme en surface, mais il était extrêmement effrayé intérieurement. Deng a consacré sa vie entière au communisme mais il a commencé à s’éveiller à la réalité avant sa mort. Pour lui et pour sa clique, qui ont ordonné les meurtres militaires de la Place Tiananmen en 1989, ce qui les a vraiment inquiétés n’était pas de savoir si leur cause réussirait (car elle avait déjà échoué), mais plutôt si le gouvernement du PCC s’effondrerait. Une fois que le PCC s’effondre, ils deviendront (deviennent) des criminels pour les générations à venir. Le sort et la dette de sang du PCC sont devenus le sort et la dette de sang de cette clique !
Après le massacre du 4 juin, Deng Xiaoping a fait des déclarations comme « Plus d’arguments », «le développement est une vérité exigeante» et « Je suis le fils du peuple ». Après avoir fait ces déclarations absurdes mais douces et plaisantes, il s’est tu pour commencer à concevoir l’ultime et furieux va-tout du PCC, qui correspond à ce que fait une bête lorsqu’elle est acculée et lutte pour sa survie. Avant de laisser sa vie s’achever et de descendre retrouver Marx, Deng a fait trois choses :
1) Se lier d’amitié avec les voisins de la Chine dans l’intérêt d’une bataille décisive contre les États-Unis. Pour accomplir ses objectifs, Deng n’a pas hésité à offrir à la Russie d’acheter un territoire chinois. Aujourd’hui, autorisée par Jiang Zemin et Hu Jintao, la Chine a donné à la Russie de la terre dans le nord de la Chine de la taille de presque 50 fois Taiwan. Les gens sont déconcertés : le PCC est-il fou de brader la Chine comme cela ? Cet épisode absurde a ses raisons secrètes. En surface le PCC ressemble à un joueur devenu fou après avoir tout perdu, mais il y a des secrets derrière ces actions.
Dans le monde d’aujourd’hui, quelles raisons ont mené le PCC à vendre la terre de ses ancêtres de façon si décidée et généreuse? Quoi qu’il en soit, si ce n’était une mise désespérée pour des questions de vie ou de mort, comment le PCC aurait-il pu faire un pari d’un prix aussi élevé? Pour attaquer un Taiwan, le PCC doit-il payer avec 50 Taiwan? Tel n’est apparemment pas le cas. Il y a une seule chose qui puisse mettre en balance le poids de 50 Taiwan dans l’autre plateau : la survie du PCC. Le PCC a pensé que s’il pouvait résoudre le problème posé par les États-Unis, il pourrait devenir «le roi du monde» immédiatement, et les soucis extérieurs et les ennuis intérieurs disparaîtraient tous. Mais affronter les États-Unis n’est pas un jeu de société ou une soirée animée. D’abord la réalité est que, la situation la plus indésirable est d’être attaqué sur deux fronts à la fois. Ce serait terrible que la Russie attaque par derrière en pleine bataille frontale. Alors, il devenait nécessaire et essentiel de dépenser une fortune pour acheter la Russie. Si ce n’est pour cela, comment expliquer que le PCC vende le pays et sa terre dans une telle hâte, au lieu de passer du temps à préparer ses funérailles à ce stade terminal de sa maladie?
Qui plus est, en le considérant de la perspective du PCC, son plan rêvé revient à gagner le monde entier en renonçant à 50 Taiwan.
2) Développer des armes biologiques de destruction massive. Depuis les années 1990, le PCC a investi les ressources du pays pour développer des armes biologiques, et on pense que le PCC possède ces armes. Les discours réfèrent à «utiliser des armes non destructives de masse» pour «éliminer les États-Unis de la scène». Ce ne sont pas simplement des mots creux de menace. Récemment la police des forces spéciales et la jeunesse radicale ont prétendu sur Internet «nettoyer Taiwan» ou «vouloir cet endroit appelé Taiwan» ce qui signifie tuer les gens de Taiwan pour vider l’endroit. Ce n’est pas totalement sans fondement.
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Ces bonnes personnes qui oublient l’histoire du PCC ne
peuvent souvent pas croire que le PCC a suffisamment d’audace pour
développer et produire des armes nucléaires modernes de destruction
massive en violation des traités internationaux et des principes
humains élémentaires. Mais n’oubliez pas comment la Place Tiananmen a
été nettoyée en 1989. Sur ce qu’on considère comme une terre sainte
démocratique, le PCC a soigneusement planifié une opération efficace de
meurtre, en utilisant des balles explosives pour tirer, de l’essence
pour brûler les corps morts, et des avions pour transporter les
cendres. Il a fait se volatiliser ces élites de la nation chinoise sans
laisser de traces. Mais par la suite, il a solennellement déclaré
qu’aucun étudiant n’avait été tué sur la Place Tiananmen, excepté 23
soldats. Où se situe pour le PCC la limite morale à ne pas dépasser?
De
plus, si un chef de bande armée tel que Ben Laden a pu défier les
États-Unis sur son propre sol en détruisant le World Trade Center,
comment pouvons nous traiter avec légèreté le terrorisme d’un État qui
a le contrôle sur des armes nucléaires et biologiques? Sans parler de
plus sérieuses attaques, il ne faudrait au PCC que quelques jours pour
répandre des poisons incolores et transparents en utilisant les lignes
aériennes civiles, et cela causerait suffisamment de dommages avec un
impact certain.
Autrement dit, en traitant avec ces voyous, comment le monde peut-il être aussi négligeant et manquer autant de vigilance?
3) Bâtir une structure de pouvoir spéciale pour la phase finale.
En
tirant les leçons de l’effondrement du système communiste sous
Gorbatchev, le PCC a adopté la stratégie consistant à utiliser une
clique militaire pour contrôler la scène centrale derrière le Massacre
de Tiananmen de 1989. Il est devenu banal de dire que les canons mènent
le Parti. Sa clique a le pouvoir absolu pour gérer les affaires
militaires importantes et les affaires d’état, telles que la
destitution de Zhao Ziyang ancien secrétaire général du Parti
communiste chinois, mais il n’est pas sensé interférer avec les
affaires quotidiennes. Si le devant de la scène est occupé par le
Comité central, alors la clique qui a opéré depuis les coulisses, qui
comprend Deng Xiaoping, Liu Huaqing, Chi Haotian et leurs successeurs,
représente le réel bureau exécutif, son esprit, son intérêt et sa vie.
Cette structure de pouvoir unique, en effet, a ajouté une couche
supplémentaire à l’assurance du PCC. Le «conseil d’administration» a
inclus soigneusement des personnes choisies de différentes sortes,
parmi lesquelles le parti royal de Zeng Qinghong, et des adeptes
increvables tels que Jiang Zemin et Hu Jintao, qui n’ont pas de
scrupules à tacher de sang leur position, ainsi que des fonctionnaires
corrompus spécialisés dans la flatterie et les intrigues.
Comparé au spectre pervers du PCC, le nazisme n’a été qu’un jeu d’enfants !
Quiconque
est autorisé à devenir un membre du comité d’administration du PCC doit
être extrêmement loyal envers le Parti. Par exemple, bien que la
famille du haut fonctionnaire militaire Yang Shangkun [3] ait été très
proche de Deng Xioaping, ce dernier a perdu confiance parce que les
Yangs n’étaient pas suffisamment «purs et durs»dans leurs points de vue
sur le Massacre de Tiananmen en 1989. Donc de cette perspective, il est
clair que les gens qui chérissent encore des illusions sur le PCC et Hu
Jintao ne comprennent pas véritablement la vraie nature du PCC et le
mécanisme interne de sa structure autoritaire tandis qu’il se dirige
vers sa fin.
Parce que Jiang Zemin répond si bien à l’inclinaison
du PCC pour l’action violente, il avait les faveurs du conseil
d’administration, ignorant son contexte familial de traître et tolérant
son comportement bizarre et sale. En clair, Jiang connaissait bien la
violente nature du PCC et a intentionnellement lancé le mouvement de
l’«évolution anti-pacifique» une fois qu’il fut en poste. Bien que
Jiang semblait irriter Deng, en fait il pourvoyait aux plus grands
plaisirs de Deng, rendant Deng suffisamment à l’aise pour passer la
couronne à Jiang. Un tel comportement illustre clairement l’énorme
escroquerie dont les deux hommes étaient capables. Bien que Jiang ait
été semoncé dans la tournée méridionale de Deng, ce n’était simplement
qu’un subterfuge.
Une autre question est : Comment Jiang Zemin, étant
donné ses antécédents, a-t-il pu poursuivre la politique de persécuter
le Falun Gong alors qu’il ne détenait pas la majorité au sein du Comité
Central permanent du PCC? C’est parce que la plupart des préoccupations
du Comité se limitaient à la politique, tandis que Jiang et le conseil
des directeurs étaient concernés par les plus hauts niveaux de moralité
et l’instinct de survie. Le spectre du PCC et l’esprit de Jiang ont
senti la menace de la droiture du Falun Gong et ont voulu par
conséquent l’éradiquer.
L’ultime va-tout que le PCC a initié dans
ses derniers jours a commencé avec Deng, qui cachait son caractère
brutal derrière une apparence de douceur, il a pris forme entre les
mains de la crapule de Jiang, et il est aujourd’hui mis en œuvre par le
meurtrier souriant, Hu Jintao. Jiang a entrepris la tâche de mettre à
exécution la dernière donne durant les temps de crise et n’a pas laissé
tomber ses prédécesseurs. Il a fait deux choses importantes, il a
utilisé toute sa force pour supprimer la moralité, et il a préparé la
voie pour une bataille décisive contre l’humanité.
Ce que le PCC
a créé grâce à sa suppression de la moralité est un cancer malin sans
précédent qui a enveloppé tout l’hémisphère oriental, et en enflant,
sert d’axe du mal, fournit une base pour le terrorisme et les luttes
avec le fondement de l’humanité dans le monde. Dans cette partie du
monde, les montagnes et les rivières gémissent et les cœurs humains
sont devenus mauvais. Même un roc de 270 millions d’années en Chine
s’est fendu [4], révélant les mots «Le PCC périra».
Jiang
Zemin s’est secrètement appuyé sur la clique militaire et a utilisé He Xin et
Wang Huning (auteur de la théorie des «Trois représentations» de Jiang)
pour mettre en œuvre ses plans. Il a délibérément lavé le cerveau de
toute la Chine et l’a empoisonnée, remplaçant de cette façon les
cellules saines par des cellules malignes et propageant leur cancer à
travers le monde entier. Voici un bref résumé de leurs plans :
1)
Contourner toutes les contraintes morales et les lois internationales
et établir une théorie militaire du terrorisme appelée «lutte sans
restriction». Le PCC semble fournir conseil et soutien pour les pays
pauvres et faibles, mais en fait il encourage la torture et le meurtre
d’innocents. Il a fait l’éloge de l’attentat suicide, le qualifiant
d’héroïsme. Tout cela faisait écho dans les pensées de la population
chinoise, empoisonnée par la culture du PCC. Donc, lorsque le 11
septembre, Ben Laden a appliqué cette théorie avec succès, il a été
applaudi dans toute la Chine, berceau de la théorie de la «lutte sans
restriction». De nombreux Chinois n’en finissaient pas de haïr Georges
Bush et d’apporter leur sympathie à Saddam Hussein après que les
événements du 11 septembre aient eu lieu.
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2) Promouvoir la nécessité de la guerre : «La guerre n’est plus très loin et va enfanter le siècle chinois».
Promouvoir la violence et le terrorisme comme des arts sacrés. «Les morts fourniront l’élan faisant avancer l’histoire.»
Promouvoir l’agression comme raisonnable : «Sans un droit à la guerre, il n’y aurait pas de droit au développement».
«Le développement d’un pays menace d’autres pays, c’est une règle
générale de l’histoire du monde». «Le seul choix de la Chine est d’être
sous la modernisation du sabre».
Promouvoir la colonisation extensive :
«Le réveil national», «Mener les gens à marcher n’importe où». «Libérez
les Américains d’origine asiatique de bas statut social», et établir des compagnies contrôlées par le PCC en Amérique.
Avec
de telles déclarations, les discours vocifèrent contre toute contrainte
éthique, prétendant que le cruel réussit et que le bienveillant perd,
que l’intérêt national prime avant tout et ne laisse aucune place pour
la moralité. Ils vantent une philosophie consistant à demander le bien
tout en faisant le mal, à travailler pour l’opposé de ce qui est
déclaré, ce qui signifie que la fin justifie les moyens. Ils emploient
la littérature de la période des États guerriers, faisant un héros du
premier Empereur de la dynastie Qin (221-206 av. J.-C.), déclarant que
le tyran n’avait pas d’autre choix que de tuer gratuitement afin
d’unifier la Chine. En même temps, ils promeuvent la discussion de la
supériorité chinoise, comment, par exemple, les asiatiques ont les
premiers découvert l’Amérique et propagé la civilisation. Ils disent
que la guerre est inévitable du fait de la pression de la population et
de la nécessité d’étendre les régions habitables du pays. En résumé,
ils lèvent haut le drapeau chinois tout en invoquant le racisme
d’Hitler afin de préparer l’opinion publique pour le
néo-fascisme-communisme chinois.
3) Inscrire les Trois
Représentations à l’intérieur de la constitution du Parti. Ceci était
inséré dan le rapport de Jiang au 16e Congrès du Parti le 8 novembre
2002 comme le grand objectif du réveil national. La nouvelle
Constitution du Parti stipulait que le PCC est l’avant-garde de la
Chine. En un mot, le PCC est passé d’exporter la révolution à exporter
la guerre. Il a développé le marxisme-léninisme et s’est transformé en
nazisme.
Qui a dit que le PCC était dans un cul-de-sac? Cette
bête blessée, malade et fatiguée était en danger, mais alors qu’elle
dépérissait sans presque aucun espoir, elle a finalement trouvé quelque
chose à quoi s’accrocher. Elle a réalisé qu’un seul pas sépare le
communisme du nazisme !
Par conséquent, les discours résument tout
à fait les leçons apprises des booms économiques et des destructions de
l’Allemagne, du Japon et d’autres régimes fascistes. Ils indiquent que
le PCC doit suivre la voie du fascisme, convenant bien à la situation à
laquelle le PCC fait face aujourd’hui : des difficultés à la fois chez
lui et à l’étranger, sans issue possible face à une situation fatale.
Dans le monde d’aujourd’hui, prenons divers pays comme l’Amérique,
l’Angleterre, l’Australie et l’Europe, même les anciennes puissances de
l’Axe de l’Allemagne, du Japon, d’Italie, ainsi que la Russie qui fut
un jour sous le contrôle du Parti communiste pervers : lequel d’entre
eux a le désir de se diriger vers le fascisme? Certainement aucun. (et
même dire que l’espace existant est insuffisant pour la population est
un mensonge éhonté, puisque la densité de la population par kilomètre
carré est de 733 pour Taiwan, de 325 pour le Japon et seulement de 135
pour la Chine!)
«La guerre n’est plus très loin et va enfanter le siècle chinois»,
dit Jiang Zemin dans un de ses discours, dans lequel il compare les
forces et les faiblesses du PCC avec celles des Nazis. D’après le ton,
il est facile d’imaginer l’état d’insanité d’un homme qui prendrait la
honte pour un honneur.
«Cependant, lorsqu’on compare
l’Allemagne et la Chine, les problèmes de l’Allemagne ne sont que
broutilles. Combien d’habitants comptait l’Allemagne? Quelle en est sa
superficie, et de combien d’années est son histoire? La flamme nazie
s’est éteinte après un peu plus d’une décennie, tandis que la nôtre a
brûlé pendant plus de 80 ans et est encore éclatante. Nous avons
proposé la théorie du ‘déplacement du centre de la civilisation’, qui
est certainement plus profonde que la ‘théorie du maître du monde’
d’Hitler».
D’après cette citation de Jiang Zemin, comparé au spectre pervers du PCC, le nazisme n’a été qu’un jeu d’enfants !
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VII. Écoutez attentivement la mélodie de la mort car dans la musique se cache le fort désir de tuer
Après
que Hu Jintao a obtenu les deux titres de Secrétaire général du PCC et
de président de la Chine, Jiang Zemin était très réticent à céder ses
deux fonctions au comité militaire. Ça n’était certainement pas dû aux
minables tours du président Zeng Qinghong et à la soudaine attaque du
vice-président de la Commission militaire, Zhang Wannian, comme les
rumeurs l’ont établi, pour demander à Jiang de rester à son poste. La
raison fondamentale est que le conseil d’administration n’était pas à
l’aise avec l’attitude retenue par Hu envers la question du Falun Gong.
Le conseil a également voulu voir si Hu effectuerait loyalement le plan
de dernier recours pour prolonger la vie du PCC qui a commencé sous
Deng et mûri pendant le régime de Jiang.
Ce n’est que le 31
juillet 2004 que le conseil d’administration a changé d’attitude et a
publiquement déclaré que Hu était le centre du PCC. La loyauté de Hu a
dû être suffisante. Ce qui est sûr, c’est que le 24 novembre 2004, Hu a
organisé une réunion d’étude du Bureau Politique. La réunion, dont le
but apparent était d’inviter le professeur Qian Chengdan de
l’université de Nanjing à parler de l’ascension et de la chute des
grandes puissances, était en réalité une transition vers le plan d’un
ultime va-tout pour prolonger la vie du Parti et une démonstration de
la fidélité de Hu au drapeau du fascisme.
Nous devrions savoir que
pour le PCC cela n’a pas de sens d’examiner l’ascension et la chute des
grandes nations. Le seul modèle, parmi les trois modèles que les
grandes nations ont suivis, et qui continue à survivre et à prospérer,
est le modèle capitaliste de liberté économique. Le PCC oserait-il
prendre un tel chemin?! Étant donné que les deux autres modèles sont
ceux du communisme et du nazisme, comment pourrait-il continuer sur un
de ces chemins? Actuellement, après les efforts de Jiang Zemin et de He
Xin, le cul-de-sac du nazisme est devenu «la grande route d’or» du PCC.
Nous pouvons en conclure que le sujet exposé à répétition dans les
discours - La route du communisme au nazisme - est ce qui excite le
PCC. À ce moment critique de vie ou de mort, le PCC n’a absolument pas
le temps d’inviter un professeur pour une causerie aléatoire. La seule
explication raisonnable est que le discours de Qian Chengdan sur
l’ascension et la chute de grandes nations était un spectacle splendide
et un prélude de fond à la connaissance historique (on dit même que les
grandes lignes de la conférence de Qian étaient fournies par He Xin). A
peine Qian Chengdan avait-il quitté la scène que la «Rhapsodie sauvage du destin» commençait son refrain désespéré !
Qu’il
soit sincère, loyal, ou pas, Hu Jintao s’est lui-même laissé emporter
sur l’ «Express du dragon de feu» pour suivre point par point le rythme
du conseil d’administration. Par exemple, Hu devra rejeter la réforme
politique, apprendre d’après la politique Nord-coréenne, resserrer
l’emprise sur le discours et l’idéologie, propager l’athéisme encore
plus fortement, continuer de réprimer le Falun Gong, finaliser des
traités déloyaux, formellement nommer la «marche des volontaires» comme
hymne national au moment de l’approche du cinquantième anniversaire du
régime, faire passer la «loi anti-sécession», envahir la mer du Japon
avec la force militaire, tester des missiles à longue portée à partir
de sous-marins, accumuler des ressources militaires même sans menaces
extérieures, augmenter le budget militaire de la Chine et accroître sa
puissance militaire, dépêcher des forces militaires pour les impliquer
dans les gouvernements locaux, augmenter le financement de l’armée, et
tout spécialement changer la stratégie militaire - de dissimuler la
force militaire à déclarer la guerre nucléaire, ainsi de suite.
Nous
fournissons deux exemples pour montrer comment l’esprit de la nation se
dirige vers le fascisme ou la promotion du PCC, et montrer l’exécution
de son furieux et ultime va-tout.
1) Entre février et mars 2004,
le PCC a ordonné à sina.com de mener un sondage à grande échelle sur
Internet. Parmi plus de 30 000 jeunes, 82,6 % ont répondu «oui» à la
question de tirer ou non sur les femmes et les enfants ! En Chine, on a
découvert qu’il y a autant de jeunes fascistes potentiels, encore plus
que ce à quoi le PCC s’attendait. Chaque fois que des terroristes
internationaux servent de bombes humaines, à l’Est, la «tumeur géante
reçoit une infusion gigantesque de sang». Pas étonnant que le PCC soit
si heureux et confiant à propos de son va-tout désespéré.
Soit dit
en passant, qui ferait un tel sondage sur Internet en temps de paix?
L’explication raisonnable se trouve dans les discours de Chi Haotian.
C’est le besoin du conseil d’administration pour mener à bien son
furieux et ultime va-tout.
2 ) Zhu Chenghu, président et
professeur à l’université de la Défense nationale est aliéné, inhumain,
ignorant, et n’a aucune notion de ce qu’est la droiture dans le monde
humain. Comment pourrions-nous nous attendre à ce que le système
d’éducation de la défense nationale du PCC enseigne à quiconque comment
être bon? Comment pourrions-nous nous attendre à ce que le PCC fasse
quoi que ce soit de décent?
En résumé, ma raison d’écrire ce long
article est d’expliquer la nature du PCC, sa situation périlleuse, et
son furieux et ultime va-tout, en envoyant un avertissement aux
personnes bienveillantes dans le monde et tout spécialement aux
Chinois. Des quatre mouvements principaux de la Symphonie de la Mort
des 50 années de règne du PCC - Les mauvaises actions de Mao, Les
frustrations de Deng, La maladie terminale de Jiang, et L’état de mort
de Hu - il est facile de voir que, dans les trois derniers mouvements,
ce qui était caché et est graduellement devenu explicite est une
mélodie cohérente de meurtre.
* * *
Notes:
[3] Yang
Shangkun (25 mai 1907- 14 septembre 1998) était Président de la
République populaire de Chine de 1988 à 1993, et vice-président
permanent de la Commission militaire centrale.
[4] The Epoch Times : une roche vieille de 200 millions d’années porte les mots «le parti communiste chinois s’effondre ».