Les 16, 17 et 18 janvier, Montréal accueillait les spectacles de Divine Performing Arts (DPA), une compagnie artistique de New York qui a pour mission de faire renaître la culture traditionnelle chinoise.
La compagnie artistique Divine Performing Arts (DPA) a plié bagages dimanche dernier pour repartir vers New York. La DPA qui continue sa tournée internationale a toutefois réussi pour une troisième année consécutive à Montréal à laisser sa trace dans l’esprit des gens.
Avec Divine Performing Arts, c'est un nouveau monde de la culture chinoise qui s'est ouvert pour le sénateur Yoine Goldstein et son épouse, très impliquée dans la communauté du ballet.
Les 16, 17 et 18 janvier, Montréal a accueilli la compagnie Divine Performing Arts (DPA) au Théâtre Maisonneuve de la Place des Arts. M. Liu Xianli, un immigrant chinois nouvellement arrivé au Canada, a assisté pour la deuxième fois à un spectacle de la DPA.
Qu’est-ce qui incite quelqu’un à revenir chaque année au spectacle de Divine Performing Arts? L’ex-danseuse Mme Fabian répond : «Chaque année, ils s’améliorent. C’est très bien et à un niveau plus élevé…
«J’étais vraiment étonné de voir cela, la première chose que j’ai dite à ma femme c’est : “Écoute, ça c’est la Russie, la Mongolie.” Il y a une certaine connexion», s’étonne M. Derkson, qui travaille dans le domaine de la finance, après avoir assisté à la première partie d’une représentation de Divine Performing Arts Tournée mondiale 2009 à Montréal, dans la soirée de samedi 17 janvier.
Pour le couple Steinwold, composé d’un musicien et d’une ballerine, le spectacle du 16 janvier de Divine Performing Arts à la Place des Arts de Montréal fut une soirée mémorable.
Les éloges du public pour la compagnie Divine Performing Arts (DPA) n'ont de cesse. Les Montréalais chanceux qui ont pu se procurer des billets pour une des quatre représentations à guichets fermés racontent la même chose : le spectacle est sublime!
Un tonnerre d'applaudissements et une ovation debout ont accueilli la tournée mondiale de Divine Performing Arts (DPA) à la Place des Arts de Montréal.
Députés et autres dignitaires ont assisté à la première montréalaise de la tournée mondiale 2009 de Divine Performing Arts. Livrant ses impressions durant l'entracte, la députée Ève-Mary Thaï Thi Lac (Bloc Québécois, Saint-Hyacinthe-Bagot) a déclaré : «C'est tout à fait majestueux...
«Sublime» serait le mot qui décrirait le mieux le spectacle de la compagnie Divine Performing Arts de passage à Montréal selon le designer Helmer interviewé lors de la première au Théâtre Maisonneuve de la Place des Arts, le vendredi 16 janvier.
Le tourbillon de couleurs, au parfum chinois, qui a ébloui le public montréalais vendredi soir au Théâtre Maisonneuve de la Place des Arts est loin d’avoir laissé de glace les gens du domaine de la haute couture. Parmi eux, Mme Boulanger-Bussière, qui a travaillé toute sa vie dans le domaine de la mode dont une bonne partie de sa carrière au Collège Lasalle, était charmée devant les performances de la compagnie Divine Performing Arts.
C'est devant salle comble que la compagnie Divine Performing Arts (DPA) a débuté, le 16 janvier 2009, sa série de spectacles à Montréal. Danse classique, chant et musique originale ont charmé les spectateurs au Théâtre Maisonneuve de la Place des Arts.
Une femme délicate avec un petit instrument arqué transporte tout le public qui retient son souffle pour écouter avec attention. Voilà l’œuvre de la soliste d’erhu Qi Xiaochun. Au sein de la compagnie artistique Divine Performing Arts, Mme Xiaochun crée cet effet à chaque représentation en introduisant «le violon chinois» méconnu du public occidental.
La mission de la compagnie artistique Divine Performing Arts (DPA) est de faire renaître le véritable héritage culturel chinois. Les tableaux présentés, à la fois purs et magnifiques, évoquent une culture d’inspiration divine exprimant bonté et beauté sublime jusque dans l’étoffe...
Nan Shan, une résidante de Toronto qui a assisté au spectacle de la compagnie Divine Performing Arts (DPA), écrivait dans sa critique : «En entendant la voix du jeune ténor Hong Ming, j’ai eu l’impression que le microphone était inutile. La salle de spectacle, d’une capacité de 1700 personnes, semblait trop petite. Sa voix riche et d’une puissance incroyable emplissait la salle avec une force qui nous a touchés et charmés.»
Avant son arrivée à Montréal vendredi prochain, le spectacle de la compagnie artistique Divine Performing Arts (DPA) continue sa tournée au Canada. Après Ottawa et Waterloo, c’est devant le public torontois que la compagnie new-yorkaise s’est produite. Loin de laisser indifférent, la production a charmé même les spectateurs œuvrant dans le domaine artistique.
«La difficulté de la danse classique chinoise provient en fait de l’efficacité à utiliser ses capacités pour exprimer des pensées et des sentiments profonds», explique Brian Nieh, un des danseurs principaux d’une des troupes de la compagnie Divine Performing Arts (DPA).
L’année 2008 a pris fin. De quel film va-t-on se souvenir? Lequel fera partie des pierres de notre mémoire cinématographique? L’action primera-t-elle sur la connaissance, ou bien l’émotion se montrera-t-elle plus exigeante que la réflexion? Doit-on faire une part toujours aussi belle aux classiques au risque de se faire traiter de passéiste ou de rétrograde?
Parmi les artistes emballés par le spectacle de Divine Performing Arts (DPA) au Centre national des Arts d’Ottawa, le 2 janvier, Mme Keillor, pianiste et musicologue, ne tarissait pas d’éloges pour la somptueuse production.
