Les pommes québécoises ont déjà commencé à faire leur apparition dans les marchés montréalais, tout comme dans les quelques pommiers parsemant l’île.
Chaque année, l’université de Nice Sophia-Antipolis accueille des étudiants étrangers pour des sessions des mois de juillet et août afin de se perfectionner en langue et en civilisation françaises.
Né du savoir-faire des Thermes de Saint-Malo, le Spa Aquatonic de Val d’Europe, le plus grand d’Ile-de-France, allie à la fois détente, beauté et vitalité. Situé à quelques encablures de Disneyland Paris...
Le chocolat revêt souvent quelques goûts uniques, simples, appréciés de tous. Les gourmands s’en délectent et certains amateurs trouvent leur bonheur chez quelques chocolatiers renommés ventant la force de leur cacao.
Dans une société de consommation où les dépotoirs se remplissent, acheter usagé, qu’il s’agisse de petits objets ou de gros achats, permet de faire de grosses économies tout en donnant une seconde vie à un objet.
23% des Français souffrent d’allergies et près d’un sur deux d’intolérances alimentaires. Des chiffres qui auraient doublé en 15 ans. On multiplie les recherches sur les corrélations avec le lait liquide.
Les Pyrénées-Atlantiques et la région Aquitaine se révèlent être un petit paradis pour les golfeurs. En effet on y trouve de nombreux parcours. Il en est un, niché au pied du massif de la Rhune, un sommet...
Des chaussures de golf avec crampons, une paire de gants, un putter qui vous permettra de faire rouler la balle et sera réservé aux courtes distances, quatre fers pour couvrir les distance intermédiaires et un bois, ou driver...
Une jeune femme de 26 ans, Anne Carrier, d’origine chinoise et adoptée par une famille de Québécois à l’âge d’environ 7 ou 8 ans, a partagé sa quête identitaire avec Époque Times. Au cours des dernières semaines, nous avons raconté son enfance...
Selon une étude publiée cette année par l'Institut de la statistique du Québec, Montréal dit au revoir à environ 60 000 citoyens par année, bien qu’elle en attire 40 000 autres qui viennent d’ailleurs au Québec.
L'excellence en journalisme de l'édition américaine d'Époque Times et de plusieurs grands médias a été reconnue le 21 juin 2013 au National Press Club de Washington, D.C.
Vous vous sentez mal dans votre corps, trop à l’étroit dans vos vêtements et sans énergie? C’est le moment de vous prendre réellement en main. Voyez cela comme une nouvelle façon de vivre et non comme un régime...
Anne Carrier, 26 ans, d’origine chinoise, a été adoptée par une famille québécoise lorsqu’elle avait environ 7 ou 8 ans. Dans notre numéro précédent, nous avons raconté ses souvenirs d’enfance difficiles en Chine et sa vie au Québec après l’adoption...
«Même si plusieurs statistiques mentionnent qu’il y a plus d’hommes itinérants que de femmes, je n’y crois pas. Le phénomène des femmes sans abri est aussi important, mais il est seulement peu apparent», signale Léonie Couture de La rue des Femmes.
Plus de 30 000 sans-abris vivent actuellement à Montréal selon l’estimation du gouvernement canadien effectuée en 2005 et les récents constats du Réseau d'aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal.
Depuis le rapport 2006 de la F.A.O., on estime qu’au moins 18 % des gaz à effet de serre sont dus aux rejets des activités d’élevage.
Afin de mieux appréhender le contexte des évolutions de l’agriculture biologique, il est intéressant de rappeler les cinq facteurs historiques du XXe siècle qui ont précipité cette véritable révolution agricole industrielle dite conventionnelle.
Anne Carrier, 26 ans, est étudiante en anthropologie. Elle est d’origine chinoise et a été adoptée par une famille de Québécois alors qu’elle n’était qu’une petite fille. Du rejet de ses racines chinoises à sa quête identitaire en Chine, voici son histoire.
Ayant laissé son atelier de restauration d’ameublement il y a six ans et ayant renoué avec la passion pour la mécanique acquise dans sa jeunesse, Antoine Bergeron possède maintenant son atelier de réparation de vélo ...
«Si les gens font du vélo, c’est parce que c’est agréable. Ça adonne en plus que c’est bon pour la santé et l’environnement. La raison première est très égoïste : le plaisir», révèle Suzanne Lareau, présidente-directrice générale de Vélo Québec.