Le théâtre était plein. À la fin de la représentation : l’ovation. En sortant, les spectateurs commentaient élogieusement le spectacle. Malgré tout, le New York Times a même soutenu qu’ils étaient des «centaines» à affluer vers la sortie lors de l’entracte.
Cette comédie romantique de Bernard Slade, auteur canadien, traduite par Michel Tremblay et mise en scène par Frédéric Blanchette, à qui on doit notamment Cheech, met en valeur les talents de Louise Marleau et de Gilbert Sicotte.
Après avoir enseigné la danse classique à l’École Nationale de Ballet de Toronto pendant plus de 25 ans, elle dirige maintenant la troupe du Lotus au Canada et rejoint chaque année l’équipe du spectacle du Nouvel An chinois de NTDTV. Sa fresque vivante intitulée « Quand les yeux du lion rougiront », s’inspire d’une célèbre légende chinoise...
En chinois, le caractère musique contient le mot médecine. Dans l’ancien temps la musique était utilisée pour soigner ou rester en bonne santé. C’est ce que l’on apprend sur le site de la troupe des Arts divins (www.bestchineseshows.com/paris) qui met à la disposition des internautes une mine de contes, légendes et récits sur la musique, la danse et les arts traditionnels chinois de la scène.
NEW YORK—Après avoir vu le spectacle du Nouvel An chinois, Famatta Deline, adjointe au Consul de la République du Libéria, a dit que la culture chinoise était unique et que la force naissait de la vérité et de l'unité.
NEW YORK - Arthur Heally, du New Jersey, a assisté à la représentation du spectacle Splendeur du Nouvel An chinois le samedi 2 février après-midi au Radio City Music Hall. Il a beaucoup apprécié parce qu'il porte un grand intérêt aux spectacles historiques.
Outre des programmes de qualité respectueux des diversités et attentifs aux différences et aux identités politiques et culturelles, la chaîne se distingue par son rôle dans la promotion des arts traditionnels et de la culture chinoise. Elle est co-organisatrice du Spectacle du Nouvel An chinois en Europe.
Lin Xilin, née en 1935, est diplômée de droit et ancienne journaliste du China Youth Daily. En 1957, Mao Zedong s’est personnellement référé à elle comme étant une « droitière » typique. Le Parti communiste chinois l’a jetée en prison pour 15 ans...
Le pari était gros, mais remporté avec brio. Le nouveau film et premier long métrage de Lyne Charlebois, Bordeline, réussit à regrouper et à porter à l’écran, avec poésie et fluidité, les mots de deux livres à succès (Borderline et Labrèche) de l’auteure Marie-Sissi Labrèche.
Un fonctionnaire du Parti communiste chinois (PCC) : « Je pense que la principale caractéristique de ce spectacle est qu’il exprime le sens profond de la culture chinoise, c’est sa force. En d’autres termes, il tente juste de présenter honnêtement des traditions culturelles chinoises et ne sert pas à autre chose. Je pense que c’est très bien. Ce genre de spectacle culturel très pur est particulièrement rare en Chine. »
Au début de l’humanité, avant même que la poésie et la peinture ne prennent forme, les danses, où des corps humains évoluaient au gré de rythmes définis, avaient déjà atteint un état de perfection.
Trois auteures américaines jamais jouées au Québec, trois pièces d’une heure trente chacune montées par trois metteurs en scènes différents. C’est ainsi que le Théâtre de l’Opsis poursuit son cycle états-unien entamé en 2007 par la pièce Under construction.
La grande unité du ciel et de l’homme est un concept fondateur de la culture traditionnelle chinoise.
Le renouveau de la culture chinoise sur scène a un nom : la compagnie Divine Performing Arts (troupe des Arts divins). La tournée mondiale de cette compagnie d’arts traditionnels chinois semble, emportée par son succès, n’avoir qu’à peine le temps de s’arrêter en France...
Daniel Mesguich et Satoshi Miyagi travaillent ensemble sur une création aussi onirique que grave Neige d’été, qui sera au théâtre de Ménilmontant à Paris à partir du 5 février. Grave, car le spectacle est une allégorie de la lutte entre un matéralisme moderne, obtu et ivre de pouvoir, et la force tranquille d’une tradition millénaire. Onirique car théâtre et réalité se mêlent et se parlent, avec une frontière si ténue qu’il faut s’accrocher pour retrouver les acteurs, fixer dans nos esprits ce qui est pièce et ce qui ne l’est pas.
Rasoir, l’opéra? Le Barbier de Séville produit par l’Opéra de Montréal prouve le contraire. Lors de la première, samedi dernier, à la salle Wilfrid-Pelletier, l’assistance a souvent ri aux éclats.
Ce «one man show» rend un hommage à la métropole avec énergie et audace. Alliant plusieurs époques de la ville dans une traversée surréaliste, c’est avec chair et grandeur du geste que Jean-Marc Massie...
Borderline, le premier long-métrage de Lyne Charlebois (Nos étés et Tabou), d’après les romans d’autofiction de Marie-Sissi Labrèche, et mettant en vedette Isabelle Blais, sera en salle vendredi prochain, le 8 février.
La compagnie Divine Performing Arts (DPA) réserve à la ville de New York un Nouvel An chinois particulier qui promet d’être une explosion de couleurs. Du 30 janvier jusqu’au 9 février, deux groupes d’artistes de la compagnie Divine Performing Arts qui étaient simultanément en tournée aux États-Unis et au Canada...
Carmen de Sara Baras est un hommage à toutes les femmes dont le coeur aspire à la liberté, un appel à vivre une authenticité absolue. Carmen existe à l’intérieur de chaque femme où qu’elle soit et quels que soient sa race, sa croyance ou son âge. C’est en cela qu’elle renouvelle le récit de Mérimée.