Le premier réseau de télévision chinoise mondial indépendant ne pourra plus atteindre ses principaux téléspectateurs dans l’Asie du Sud-Est après l’arrêt attendu cette semaine de l’émetteur par satellite du fournisseur Eutelsat basé à Paris. New Tang Dynasty TV (NTDTV), basée à New York, fait savoir que cette décision unilatérale de ne pas renouveler le contrat « n’a commercialement aucun sens » selon Samuel Zhou, le directeur des programmes de NTDTV.
Dans un futur proche, lorsque les gens vont commencer à jeter un regard en arrière après la chute du parti communiste chinois (PCC), ils découvriront une série d’événements menant à sa destruction finale. Un des derniers pourrait bien être la mort de Zhao, et le dernier, ou le tout premier de cette chaîne de causes à effets qui finit par déraciner le dernier empire du mal sur terre, aura été, très probablement, la publication des Neuf commentaires sur le parti communiste chinois par le journal La Grande Époque.
La mort de Zhao Ziyang, ancien secrétaire Général du parti communiste chinois, déchu suite à sa position pro-démocratique lors des événements de juin 1989, conduit la Chine dans une impasse.
Lors d’une récente interview pour New Tang Dynasty Television, le Dr Cheng a évoqué rapidement les fausses accusations d’espionnage pour la CIA, dont a été victime Zhao Ziyang.
La première fois que le monde a vu une photo de Qi Zhiyong, l'image tragique de ce jeune et bel étudiant amputé d’une jambe a mis en évidence le mensonge d’un gouvernement qui affirmait : « Nous n’avons pas tiré. »
Lors d’une entrevue récente, l'activiste chinois pro-démocrate Zhang Lin, a exprimé sa tristesse à la suite du décès de l'ancien Secrétaire-général Zhao Ziyang. Il se souvient de Zhao comme d’un homme sincère et d’un dirigeant chinois unique qui s’inquiétait vraiment pour le peuple
C’est sur la Place Tiananmen que s’est déroulée en 1989 la scène qui a coûté au défunt Zhao Ziyang son statut d’homme politique. Il y a seulement quatre ans, la même place a également été la scène d’une autre journée noire dans l’histoire de la Chine. Le 23 janvier 2001, un petit groupe de personnes se seraient apparemment immolées par le feu. C’est avec une rapidité surprenante que Xinhua, un média chinois contrôlé par l’Etat, a signalé l’incident, affirmant que les immolés étaient des pratiquants du Falun Gong : méthode traditionnelle chinoise visant la santé et de bien-être. Toutefois, des preuves démontrent que cet incident était une mise en scène, un coup monté utilisé dans le but de retourner l’opinion publique contre un groupe déjà persécuté pour ses idéaux.
Mme Ding Zilin, co-fondatrice des « Mères de Tiananmen » (un groupe de mères des victimes du massacre de Tiananmen) et son mari ont demandé aux autorités d’accepter leur participation à la cérémonie d’honneur faite à Zhao Ziyang, ancien Secrétaire Général mort récemment, dans sa demeure. La demande a été refusée. « Vous ne pouvez absolument pas participer à une telle activité. C’est la décision des responsables de l’État» a répondu Liu Qiang, chef de section du Département de la Sécurité de l’État .
À la date du 23 janvier, le nombre de personnes ayant visité l’ancienne résidence de Zhao Ziyang pour offrir leurs condoléances, avait de loin surpassé les 300, rapporté plus tôt. Des estimations conservatrices indiquent qu’ils étaient de 800 à 900 personnes. La plupart des personnes portées disparues sont venues d’autres régions du pays afin de se rendre à Pékin pour faire appel auprès du gouvernement central.
L’influence de Zhao Ziyang met en question la légitimité du PCC Le Dr Wu Guoguang faisait partie du groupe de conseillers de l’ancien Secrétaire général du Parti communiste chinois (CCP) Zhao Ziyang, mort le 17 janvier. M. Wu a accepté un entretien avec La Grande Époque (LGE).Pendant les années 80, Wu était parmi les cerveaux de la réforme politique lorsque Zhao était au pouvoir. Après le Massacre de la Place Tienanmen le 4 juin 1989, il a obtenu un doctorat en sciences politiques à l’Université de Princeton dans le New Jersey
Le service commémoratif pour l’ancien Secrétaire général du Parti communiste Zhao Ziyang a eu lieu samedi dernier au Cimetière révolutionnaire Babaoshan. Selon un rapport de la version chinoise de La Grande Époque, des sources informées à l’intérieur de la Chine ont confirmé qu’à 9 heures, heure de Pékin, le 29 janvier, une foule d’environ 10.000 personnes s’était rassemblée devant l’entrée principale de Babaoshan.
Les discussions à propos de la démocratie et des systèmes multipartis étaient d’actualité L’ancien secrétaire général Zhao Ziyang, mort à Pékin le 17 janvier, avait évoqué la question des systèmes multipartis dès 1989. Dans ses mémoires (Doubleday 1996), l'ancien dirigeant de l'Union Soviétique Mikhaïl Gorbatchev a abordé sa réunion avec Zhao.
Le 23 janvier, sept jours après la mort de Zhao Ziyang, « ancien Secrétaire Général du Parti Communiste », le gouvernement chinois n’a toujours pas annoncé la tenue de funérailles officielles. Habituellement, selon les coutumes du pays, les obsèques se tiennent sept jours après le décès.
M. Jason Kennedy, un député canadien, est devenu le premier homme politique occidental à se rendre au domicile de Zhao Ziyang afin de présenter ses condoléances à la famille.
Plusieurs dizaines de personnes, chinoises et françaises, ont participé à une cérémonie à la mémoire de Zhao Ziyang hier soir devant l’ambassade de Chine en France. Parmi eux des victimes et des témoins oculaires de la répression sanglante du 4 juin 1989 à Pékin dont Feng congde, Zhang Jian, Cai Chongguo, Wang Longmeng. Ils ont rendu un profond hommage à Zhao Ziyang, resté fidèle à ses principes dans l’intérêt du peuple chinois et au prix de ses intérêts politiques et de sa liberté personnelle, ceci jusqu’à sa mort.
Vendredi soir 21 janvier, l'Alliance de Hong Kong, en soutien aux mouvements démocratiques patriotiques de Chine (The Hong Kong Alliance in Support of Patriotic Democratic Movements of China) a organisé, une veillée aux chandelles à la mémoire de Monsieur Zhao Ziyang. Environ 15 000 hongkongais ont participé à cette cérémonie qui a eu lieu au Parc Victoria de Hong Kong.
Impact du décès de Zhao Ziyang Le décès de Zhao Ziyang, ex-secrétaire général du Parti Communiste Chinois, a bouleversé le monde. Il s’était opposé à l’intervention militaire qui réprima la manifestation d’étudiants, le 4 juin 1989, sur la place Tiananmen de Pékin. Suite à cela, il avait été démis de ses fonctions et assigné à résidence. Des scissions au sein du Parti se sont fait savoir et beaucoup de rumeurs circulent dans le pays. Il est bien possible de voir réhabilitée la personnalité de Zhao Ziyang en Chine. Le PCC se trouve devant un problème épineux : la situation en Chine est en passe de devenir instable.
La version chinoise du journal La Grande Époque a rapporté, dans la journée, le décès de l’ancien secrétaire du Parti communiste chinois M. Zhao Ziyang. Il avait 85 ans et était assigné à résidence depuis 16 ans. Cette annonce nous parvient après les multiples reportages diffusés, annonçant d’abord une maladie grave puis le coma de M. Zhao. Selon Reuters, des proches de M. Zhao ont confirmé le décès survenu à Pékin à 7h01, le matin du 17 janvier 2005.
Avec ses dents craquelées et ses mains ensanglantées, Wan Guifu arrive difficilement à séparer une graine de melon d'eau de plus avec ses dents. Pour lui, travailler à l'extérieur dans un froid glacial plus de 10 heures par jour n'était pas vraiment un choix. Il devait soit travailler pour la production de graines de melon choisies à la main pour le camp de travail ou être battu jusqu'à l'inconscience. À l'âge de 57 ans, Wan a travaillé jusqu'à ce qu'il ne puisse plus accomplir sa tâche brutale et fut battu à mort par les détenus au centre de détention numéro 1 de Lanzhou en Chine.
L’ancien Haut Commissaire aux Droits de l’Homme des Nations Unies appelle à la fin de la persécution du Falun Gong au Séminaire ”Enfants d’immigrants et de réfugiés”Durant l’après-midi du 18 octobre 2004, l’Institut des Politiques de l’Enfant et de la Famille à l’Université Columbia, New-York, a accueilli un séminaire sur le sujet des Enfants des Immigrants et des Réfugiés.La salle de conférence à l’Ecole des Affaires Internationales et Publiques pouvant accueillir 200 personnes était remplie. Les spécialistes et les universitaires participant à ce séminaire venaient de l’Ecole du Travail Social de l’Université de Columbia, de l’Institut des Politiques de l’Enfant et de la Famille, de l’Ecole de la Santé Publique et du Collège des Professeurs ainsi que des programmes afférents aux enfants dans la ville de New York.