Seize fonctionnaires retraités du Parti communiste chinois sont maintenant placés sous surveillance des forces de sécurité du Parti après avoir écrit une lettre exigeant la démission du chef de la sécurité Zhou Yongkang, selon les médias chinois d'outre–mer.
Le dirigeant chinois Hu Jintao aurait accepté qu'une enquête soit menée sur Zhou Yongkang, le responsable de la sécurité publique, selon des sources bien placées à Pékin.
Le trafic sur l'édition chinoise de The Epoch Times a atteint des sommets depuis que le journal informe sur les luttes intestines qui sévissent au sein du régime chinois. Le journal dont le nom chinois est DaJiYuan, a publié des centaines d'articles sur la controverse latente qui a éclaté la veille du voyage du Premier ministre canadien Stephen Harper en Chine.
Des articles publiés dans les médias officiels chinois indiquent que l'ancien chef du Parti communiste chinois (PCC) à Chongqing, Bo Xilai, pourrait être puni plus sévèrement après avoir été démis de ses fonctions, selon différents analystes. Démontrant la gravité avec laquelle Pékin traite l'affaire Bo Xilai, des efforts ont été mis en branle afin d'expliquer la situation aux membres du Parti et au public.
Le Premier ministre du régime chinois Wen Jiabao a fait pression pour mettre fin à la persécution du Falun Gong avec réparation aux membres de cette pratique spirituelle, selon une source de Pékin.
Au sein du Parti communiste chinois (PCC), les liens familiaux ont leur importance. Bo Xilai est non seulement un «fils de prince», un enfant issu de la génération fondatrice du PCC, mais son père, Bo Yibo, est un des Huit Anciens, huit vétérans du PCC qui ont eu un grand pouvoir dans les années 1980 et 1990. Peut-être du fait de sa naissance privilégiée, Bo a développé un sens du droit au pouvoir.
Avant d’entrer dans la politique, Zhou Yongkang (né en 1942), a travaillé pendant presque 30 ans dans l’industrie pétrolière. Il est de notoriété publique qu’après la mort de sa première femme dans un accident de voiture, le mariage de Zhou Yongkang avec la nièce du Président Jiang Zemin, lui a permis d’atteindre de hautes fonctions au sein du Parti communiste chinois.
Les évènements des dernières semaines en Chine ont ébranlé le Parti communiste chinois (PCC). Après que Wang Lijun, l’ancien chef du bureau de la Sécurité publique de Chongqing, est allé au consulat américain de la ville de Chengdu le 6 février dernier, le Parti communiste chinois a vu les luttes de pouvoir et d’allégeance dans ses rangs débouler comme des dominos.
La tête dirigeante du Parti communiste chinois, Hu Jintao, a quitté la Chine pour une tournée de huit jours dans trois pays, bien que Pékin soit inondée de rumeurs face à la lutte de pouvoir féroce qui se déroule à la direction du PCC. Les analystes disent que Hu se sent en sécurité de voyager en ce moment, car il a utilisé un vieux subterfuge pour contenir son plus dangereux ennemi.
En 1997, après 18 ans de torture et de détention pour avoir milité en faveur de la démocratie en Chine, Wei Jingsheng a soudainement été libéré et s’est exilé aux États-Unis après l'intervention du président américain Bill Clinton.
L’Américain aborde généralement les négociations dans un esprit de «gagnant-gagnant». Mais lorsqu’il tente de faire affaire avec des interlocuteurs chinois, il y laisse généralement sa chemise. Ce n’est pas une mince affaire, explique Morgan Reed, directeur exécutif de l’Association for Competitive Technologies (ACT). Les Chinois viennent en affaires sans prendre de gants, alors que les entreprises américaines manquent d’agressivité et sont entravées par les principes courant du monde des affaires, qui les empêchent de prendre la réelle mesure de leur adversaire.
Après le licenciement de Bo Xilai, secrétaire général du Parti communiste de la ville de Chongqing, une vague de répression a eu lieu en Chine continentale: certains fonctionnaires sont soumis à des enquêtes pour corruption, des sites maoïstes sont en cours de fermeture et des commentateurs maoïstes sont licenciés.
Des termes politiquement sensibles et habituellement censurés dans les résultats des recherches donnaient soudainement l'accès à des sites Web qui étaient, la veille même, interdits et bloqués en Chine. Bien que certains de ces accès à un Internet plus libre aient été vite fermés, les observateurs ont noté que les conflits au sommet du Parti communiste chinois s'étaient étendus à l'espace virtuel avec la levée de la censure.
Dans la nuit du 19 mars dernier jusqu’au petit matin du jour suivant, un message – selon lequel un grand nombre de policiers de la police militaire se trouvaient dans Pékin – s’est largement répandu sur les microblogs de Chine continentale.
Le scandale de l’affaire Wang Lijun-Bo Xilai a fait fondre le secret qui entoure généralement les dirigeants chinois. Ce qui rend la bataille politique actuelle à Zhongnanhai aussi intense, complexe et difficile à résoudre pendant cette année extrêmement sensible de changement du pouvoir, c’est l’implication de certains dirigeants du plus haut niveau dans la persécution du Falun Gong.
Jiang Zemin, l'ancien chef du Parti communiste chinois, est actuellement dans un état végétatif et il est maintenu en vie à l’aide de dispositifs médicaux et d’infusions, selon une personne en Chine au courant des circonstances.
Avec la rencontre du 23 mars entre Zhou Yongkang et le ministre indonésien des Affaires étrangères, les Chinois se demandent si Zhou a toujours bien le contrôle de son portfolio, pendant que la crise qui secoue le Parti communiste chinois (PCC) se poursuit.
Depuis le 15 mars 2012 les supporteurs de Bo Xilai, ancien secrétaire général du parti communiste de Chongqing révoqué de son poste, font face à des représailles.
Bo Xilai a été démis de ses fonctions à Chongqing suite au scandale révélé par les dossiers soumis à l’ambassade des États-Unis par son député vétéran. Cependant, Bo fait encore partie des 24 membres de la haute classe dirigeante du Politburo. Mais Ruan Ming, un ancien conseiller du président Hu Yaobang dit que son statut n’est qu’une formalité.
Dans la nuit du 16 mars 2012, un enregistrement audio de 25 minutes s’est rapidement diffusé sur toute la toile chinoise. Cet enregistrement provient d’une réunion de responsables de la ville de Chongqing, qui s’est tenue immédiatement après que le directeur de la police Wang Lijun a essayé de trouver refuge au Consulat américain. Lors de cette réunion, le Parti aurait pris une décision officielle au sujet de Wang Lijun.