Les derniers chiffres officiels font état d’une fonte record des glaciers ces dernières années, a annoncé, le 17 mars dernier, le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE), qui a rappelé à cet égard l’importance de la prochaine Conférence mondiale sur le climat à Copenhague, au Danemark, en 2009.
Les nombreux spécialistes européens du vautour percnoptère, réunis au cours d’un séminaire international sur le sujet les 31 janvier et 1er février derniers, ont décidé de mettre en œuvre, d’ici à la fin de cette année, un plan d’action international pour sauvegarder cette espèce. Menacé à l’échelle mondiale, ce petit vautour migrateur transsaharien connaît une régression dramatique en Europe. Seules les populations françaises ont progressé grâce à deux programmes de conservation, coordonnés par la LPO.
À l’occasion de la Journée mondiale de l’eau, samedi dernier, l’ONU rappelle qu’environ 2,6 milliards de personnes dans le monde n’ont pas accès à des installations sanitaires dignes de ce nom.
Suite aux violences consécutives à l’élection présidentielle du 27 décembre qui ont fait plus de 1.500 morts et 300.000 déplacés, dans un pays longtemps considéré comme l’un des plus stables de l’Afrique de l’Est, le tourisme au Kenya a chuté. Effectivement le secteur du tourisme, qui était l’un des atouts majeurs de ce pays, a vu ses réservations baisser de 90 % par endroits en janvier et février.
D’après les études menées par des scientifiques, les chauves-souris utilisent une substance magnétique (appelée magnétite) comme « boussole interne » pour se déplacer. Les travaux, en partie financés par une bourse Marie Curie de l’UE, sont publiés dans la revue PLoS ONE. La capacité des chauves-souris à utiliser le champ magnétique terrestre pour se déplacer a été découverte en 2006;
La maxime d’Anaxagore de Clazomènes, un philosophe présocratique, est particulièrement vraie lorsque l’on se penche sur le projet architectural du petit complexe de la TOHU.
Montréal cherche toujours son second souffle en termes de renaissance urbaine. Les récentes annonces des paliers supérieurs de gouvernement à l’effet de bonifier le réseau actuel de transport en commun (TC) semblent confirmer un heureux changement de cap.
En France, 2007 a été une année particulièrement meurtrière pour le milan royal : 29 ont été retrouvés morts.
Le manchot royal est paraît-il un bon informateur des changements climatiques, d’après le rapport d’une équipe scientifique, faite par le CNRS, en collaboration avec l’Institut polaire français Paul-Émile Victor, qui a suivi cette espèce durant une dizaine d’années. Ils ont observé que le manchot royal réagissait fortement à l’environnement.
Gandhi disait : «On peut considérer une nation et son progrès moral à la façon dont elle traite ses animaux». Les animaux d’élevage ne sont pas des machines mais des êtres sensibles, des millions de poulets par exemple sont élevés en batterie, ils souffrent de déformation des pattes ou de paralysies, etc.
Montréal, c’est, d’abord et avant tout, une ville portuaire qui possède une entrée maritime ample et majestueuse. Malheureusement, les activités portuaires ont fait en sorte de couper la ville historique de son contact avec l’eau.
En dépit de son plan stratégique de développement durable, la Ville de Montréal ne parvient toujours pas à se conformer aux objectifs de la Politique québécoise de gestion des matières résiduelles. Loin d’atteindre les objectifs de 60 %, le taux global de recyclage pour la métropole avoisinerait les 38 %.
Certains sont prêts à mourir pour lui, d’autres veulent le démanteler ! En effet, le São Francisco ne laisse pas indifférent. Il est depuis plus de deux siècles sujet de convoitise et le débat sur son détournement crée des tensions entre le gouvernement et les militants de l’environnement.
La bataille pour l’eau potable fait rage en ce début de nouveau millénaire. Et, l’or bleu risque de détrôner le pétrole en qualité d’étalon suprême pour lequel les puissances de ce monde risquent d’entrer en conflit.
Cela fait trois ans que Françoise cultive des plantes sans engrais, ni produits de synthèse. A l’aide d’un calendrier sur les semis, elle peut connaître le mouvement des planètes du système solaire et leur configuration. C’est le rythme quotidien, la respiration de la terre avec le soleil, ascendant le matin et descendant l’après midi, « une sorte de printemps et d’automne miniature » qui guide les cultures.
Au Sénégal, le désert avance de 3 km par an, la terre est de moins en moins fertile et les arbres que l’on tente de replanter ne prennent pas racine. Depuis 1992, Jacques Gasc, ingénieur agronome, tente de reverdir le Sahel en utilisant sa propre invention pour planter...
Le chaman Davi Kopenawa est de nouveau mandaté par les siens, les indiens de la tribu Yanomami. C’est, par l’intermédiaire du quotidien allemand Neue Osnabrücke Zeitung paru le 31 décembre qu’il interpelle la chancelière allemande Angela Merkel...
En octobre, la rivière du Lijiang ne pouvait plus alimenter le barrage de Si'anjiang. Les riverains de Guilin pouvaient aller ramasser des coquillages dans le lit de la rivière.
UN PROJET novateur financé par l’Union européenne pourrait entreprendre la replantation de milliers d’hectares d’anciens sites industriels dans le Nord-Est de l’Angleterre tout en produisant de la bioénergie respectueuse du climat. Après plusieurs essais fructueux, le projet commence à prendre de l’ampleur. Le centre de gestion pour un environnement propre de l’université de Teeside (Royaume-Uni) utilise les cultures énergétiques dans le but de nettoyer d’anciens sites industriels pollués par le biais d’un processus dit de « phytoremédiation ». Le processus de phytoremédiation consiste à épurer les sols contaminés, les cours d’eaux ou l’air au moyen de végétaux pouvant contenir, dégrader ou éliminer les métaux, pesticides, solvants, explosifs, pétrole brut et ses dérivés ainsi que des polluants divers des milieux où ils se trouvent. C’est une technique propre, efficace et bon marché qui préserve l’état naturel de l’environnement, contrairement aux procédés nécessitant l’excavation du sol.
Le réchauffement de notre planète serait sur le point de perturber jusqu’aux extrémités polaires, avec des conséquences incalculables. Le biologiste et cinéaste Jean Lemire aura mis plusieurs mois à terminer le montage d’un long-métrage qui documente sa dernière expédition en Antarctique.